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Un an ferme pour le lynchage d’un gendarme

Selon la gendarmerie, un gendarme en civil qui allait chercher des pizzas est agressé verbalement samedi 22h à Pamandzi par un groupe de « jeunes ». L’insulte « sale flic » aurait été proférée par les individus. Alors qu’il sortait de l’établissement, le gendarme est assailli par la bande. Il reçoit un pavé au visage et un coup de barre de fer dans le dos, puis est roué de coups de pieds, une fois au sol. Pour ses blessures, le médecin lui a délivré une ITT de 5 jours.

Un de ses agresseurs, mineur a été interpellé par ses collègues quelques instants plus tard. Il a été placé en garde à vue à 22h30. Le lendemain matin c’est le jeteur de pierre qui a été appréhendé par les forces de l’ordre. Il a été présenté devant le juge le lendemain à 14h pour une comparution immédiate. Il a écopé de 18 mois de prison dont 6 avec sursis, soit un an ferme. Il a été placé sous mandat à l’issue de l’audience, tandis que le mineur s’est vu délivré une convocation devant un officier de police judiciaire au mois d’avril.

   

 

 

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Combani : Le meurtrier présumé se déclare “amnésique”

L’homme déclare ne pas se souvenir des faits. Ce trentenaire, ressortissant comorien en situation irrégulière a expliqué qu’il se rendait chez sa belle-mère vers 9h ce vendredi matin, avec la ferme intention de retrouver sa compagne, qui s’était réfugiée chez sa mère. Là, les choses prennent rapidement une tournure violente. Selon sa version, il se saisit de son upanga qui se trouvait dans son sac pour aller aux champs.

Pour la suite il ne se souvient plus. C’est en tout cas sa ligne de défense pour l’instant. Les faits sont racontés par les témoins de la scène, sa femme, ses deux belles-sœurs. Il se saisit donc de son upanga et frappe sa femme à plusieurs reprises, puis se porte contre la belle-mère et frappe avec une rare sauvagerie, dont un revers, porté au cou qui lui tranche la carotide. Puis, enragé, il assène des coups à sa belle-sœur et son petit beau-frère, âgé de tout juste 9 ans. La seconde belle-sœur assiste prostrée à la scène.

Une infirmière qui entend des cris se porte elle aussi au devant de la scène, elle sera le cinquième témoin du massacre. La suite est connue, le meurtrier s’enfuit dans la brousse où il se cache durant 2 jours avant de se rendre aux gendarmes. Sa femme est grièvement blessée, toujours en soin à l’hôpital, mais ses jours sont hors de danger, les autres victimes sont touchées plus légèrement, mais tous sont extrêmement choqué par la violence de la scène.

 

Le meurtrier a été présenté au juge d’instruction et placé en détention provisoire au terme de son audition. Il est apparu abattu face au juge, n’a pas nié sa participation au crime. Il a juste ajouté qu’il ne se souvenait plus des circonstances exactes. Il sera soumis dans les semaines à venir à une expertise psychiatrique, même si son cas ne révèle pas, pour l’instant, d’antécédent de violences.

Pour le procureur Garrigue, il s’agissait du premier « véritable » meurtre commis à Mayotte depuis son arrivée en décembre 2013. Par conséquent, même si le fait divers apparait particulièrement horrible, on peut considérer Mayotte comme un territoire épargné, en ce qui concerne les crimes et en particulier les meurtres. Dans cette affaire, il appartient désormais au juge de déterminer quand aura lieu la reconstitution du crime.

Adrien Theilleux

« Zanguief », l’agresseur au couteau a été arrêté (2)

Le 23 février dernier, un couple dont la femme est enceinte est agressé en sortant de chez eux à Kavani Sud par 4 adolescents de 13 à 15 ans, environ. L’homme reçoit des coups de couteau au visage et à la cuisse, tandis que la femme est entaillée au bras. Les voleurs s’enfuient avec le sac banane des victimes (voir notre édition du 24 février).

Après une enquête minutieuse, la police est parvenue à localiser les agresseurs. Un mandat d’amener autorise des perquisitions le 6 mars au matin qui permettent de dénicher deux auteurs, dont le fameux « Zanguief », auteur des coups de couteau.

Le lendemain un troisième comparse est arrêté et placé en garde à vue. Les voyous avouent leur forfait en garde à vue et expliquent qu’ils ont revendu les objets volés.

Les deux premiers sont déférés devant le parquet. Le quatrième et dernier belligérant est toujours en fuite. Il est activement recherché.

   

 

 

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« Zanguief », l’agresseur au couteau a été arrêté

Le 23 février dernier, un couple dont la femme est enceinte est agressé en sortant de chez eux à Kavani Sud par 4 adolescents de 13 à 15 ans, environ. L’homme reçoit des coups de couteau au visage et à la cuisse, tandis que la femme est entaillée au bras. Les voleurs s’enfuient avec le sac banane des victimes (voir notre édition du 24 février).

Après une enquête minutieuse, la police est parvenue à localiser les agresseurs. Un mandat d’amener autorise des perquisitions le 6 mars au matin qui permettent de dénicher deux auteurs, dont le fameux « Zanguief », auteur des coups de couteau.

Le lendemain un troisième comparse est arrêté et placé en garde à vue. Les voyous avouent leur forfait en garde à vue et expliquent qu’ils ont revendu les objets volés.

Les deux premiers sont déférés devant le parquet. Le quatrième et dernier belligérant est toujours en fuite. Il est activement recherché.

   

 

 

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« Zanguief », l’agresseur au couteau a été arrêté (2)

Le 23 février dernier, un couple dont la femme est enceinte est agressé en sortant de chez eux à Kavani Sud par 4 adolescents de 13 à 15 ans, environ. L’homme reçoit des coups de couteau au visage et à la cuisse, tandis que la femme est entaillée au bras. Les voleurs s’enfuient avec le sac banane des victimes (voir notre édition du 24 février).

Après une enquête minutieuse, la police est parvenue à localiser les agresseurs. Un mandat d’amener autorise des perquisitions le 6 mars au matin qui permettent de dénicher deux auteurs, dont le fameux « Zanguief », auteur des coups de couteau.

Le lendemain un troisième comparse est arrêté et placé en garde à vue. Les voyous avouent leur forfait en garde à vue et expliquent qu’ils ont revendu les objets volés.

Les deux premiers sont déférés devant le parquet. Le quatrième et dernier belligérant est toujours en fuite. Il est activement recherché.

   

 

 

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Conseil général : le grand dérapage de la fin de mandat

La première constatation que l’on peut faire est que cette fin de mandat du CG aura donné lieu à un dérapage budgétaire et une débauche de subventions jetées à tous vents par la collectivité. Déjà, le Conseil économique, social et environnemental (Cesem) soulignait dans ses débats, les difficultés à venir pour la collectivité si la masse salariale n’est pas rapidement maîtrisée.

En effet, les fonctionnaires de la collectivité, dont certains touchent déjà des salaires de ministres et dont la majorité gagne plus en moyenne qu’un agent d’un conseil général de métropole, seront bientôt indexés au taux plein retenu, soit 40%. Ils le sont déjà à hauteur de 20%, ce qui représente une charge importante pour la collectivité qui doit désormais trouver 98 millions d’euros (+8%), rien que pour payer les salaires de ses agents.

La situation financière que laisse la majorité est donc moins brillante et beaucoup plus fragile qu’on ne voudrait le dire, même s’il faut souligner les efforts de rigueur budgétaire des années 2009 à 2013. Beaucoup redoutent un « effet de ciseaux » entre des dépenses qui augmentent et des recettes qui stagnent, d’où un déséquilibre budgétaire symbole de déficit.

Le mécanisme serait déjà à l’œuvre. En effet, de novembre 2014 à février 2015, de très nombreux rapports faisant état de subventions en investissement ont été adoptés. Plus de 15millions d’euros ont été attribués à des associations et à des entreprises tout juste naissantes. Les procédures de suivis des actions et des réalisations sont quasiment absentes dans ces cas-là, et le CG n’a jamais exigé de remboursements lorsque les projets présentés n’étaient pas réalisés.

Comme un réparateur de pneu de Pamandzi qui a reçu une enveloppe gonflée à près de 100.000 euros ou encore une entreprise de basée en Petite-Terre et créée en novembre 2014 qui a obtenu 200.000 euros de subventions pour faire de la « réparation de bateaux », ou encore cette association de danse traditionnelle méconnue qui reçoit un subside conséquent pour s’envoler en Belgique et en Turquie. Sans parler du budget du festival Dounia à Madagascar qui n’a pas été chiffré. Le département a-t-il intérêt à financer ce type de projets à l’état d’ébauche et qui n’ont pas de prise avec le développement de Mayotte ?

A l’heure du passage à la fiscalité locale, les contributeurs pourraient se trouver les dindons de la farce. En témoigne cet autre rapport de la collectivité, adopté hier après-midi qui réévalue la taxe départementale de publicité foncière et de droits d’enregistrement. En clair, il s’agit d’une taxe que quiconque paiera lorsqu’il vendra ou achètera des biens immobiliers.

Le taux actuel est de 3,8% soit la moyenne des départements français, les élus ont proposé de le réévaluer à 4,5%. Ce qui signifie pour un bien d’une valeur de 100.000 euros que ces frais se monteront à 9800 euros (contre 6100 euros avant), dont 4000 euros pour payer le salaire du conservateur, qui touche 4 fois plus de Contribution de sécurité immobilière (CSI) à Mayotte qu’ailleurs en France. C’est un exemple parmi d’autres de ce qui attend les contribuables si le gaspillage de l’argent public se poursuit.

Adrien Theilleux

Mayotte enfin française aux jeux des îles ?

Le député de Mayotte, Ibrahim Aboubacar, a interrogé la ministre des Outremers par courrier du 5 mars dernier sur les conditions de participation de Mayotte aux prochains Jeux des îles de l’océan indien.
Il revient dans son courrier sur « la question récurrente qui se pose à chaque édition de ces Jeux que de savoir sous quelles couleurs nos jeunes sont admis à participer ».

Le député Ibrahim Aboubacar demande à ce que « les discriminations que subissent nos jeunes à ces Jeux puissent prendre fin ».

Dans sa réponse datée du 6 mars, George Pau-Langevin confirme avec une grande détermination que « notre pays prendra toutes les mesures nécessaires pour donner à Mayotte toute sa place dans les prochains Jeux des îles de l’océan indien qui auront lieu en prochain à la Réunion », se félicite le député socialiste de Mayotte.

« C’est une nouvelle extrêmement positive qui répond enfin à une demande légitime de toute la communauté sportive mahoraise. ».

   

 

 

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Mayotte remarquée au Salon du tourisme de Berlin

Le stand de Mayotte, positionné au Hall 20, allée n°105, a profité d’un grand flux de visiteurs aussi bien professionnels que grand public notamment grâce à l’article sur Mayotte paru le samedi 8 mars dans le quotidien allemand Berliner Morgenpost qui a présenté l’île et a conseillé aux Allemands de venir visiter le stand de l’île au lagon.

Ce coup de pouce résulte d’un accueil de presse du journaliste allemand Sacha Lenhartz qui a été accueilli par le CDTM à Mayotte en septembre dernier. Les 3 premiers jours du salon réservés aux professionnels du voyage ont permis de toucher un nombre importants de tour opérateurs (TO) et agences de voyages allemands avec deux approches.

Pour la première, des TO et agences de voyages allemands découvraient une nouvelle destination à l’authenticité et à la situation géographique et statutaire (département français/Région européenne) qui surprennent et méritent l’attention avec de possibles programmations dans leurs prochains catalogues de voyage.

Par ailleurs, des TO et agences de voyages spécialisés plongée qui, à la suite d’un premier contact avec la destination Mayotte lors du salon Boot de Düsseldorf en janvier dernier, étaient venus conforter et confirmer la programmation certaine de l’île dans leurs nouvelles propositions de voyages, se félicite le CDTM.

Cet intérêt pour « une nouvelle destination » des TO et agences de voyages allemands incite et encourage le CDTM et ses partenaires professionnels à continuer ses actions de démarchage du marché allemand en s’appuyant sur la toute nouvelle représentation du CDTM à Kehl, sur territoire germanique, et aussi en continuant la traduction en allemand les supports de promotion.

Cependant, l’intérêt suscité par la « nouvelle destination Mayotte » a suscité des questionnements problématiques auxquels le CDTM et les professionnels ayant fait le déplacement ont du faire face sans pouvoir apporter de réponse rassurante. TO et agences de voyages allemands ont posé la problématique récurrente de la connexion aérienne entre l’Europe et Mayotte, exprimant le manque de liaisons directes entre les grands aéroports européens et Mayotte. Par ailleurs, la plupart des TO qui s’intéressent à Mayotte ont une clientèle aisée, qui a l’habitude des grandes destinations autour des safaris et grands hôtels ou lodges luxueux. Ce qui n’est pas encore le cas à Mayotte puisque ce type de structures fait vraiment défaut en termes de programmation dans les catalogues de voyages.

Les deux derniers jours du salon, samedi et dimanche, ouverts au grand public, furent l’occasion pour la délégation de Mayotte de rencontrer des milliers de visiteurs venant d’Allemagne, mais aussi de Pologne, Suisse, Belgique, Russie souhaitant avoir des informations sur la localisation de l’île, ses richesses et ses activités touristiques. Les magazines de vacances et des loisirs de Mayotte, les guides de la plongée en allemand, cartes touristiques et posters ont été largement distribués, avec une mention spéciale pour le poster « Maki » qui a eu un succès particulier auprès des visiteurs grand public.

Le CDTM et ses partenaires professionnels ont déjà pris rendez-vous pour la prochaine édition du salon, le 50ème ITB Berlin, qui aura lieu du 9 au 13 mars 2016.

 


Accueil des prochains bateaux de croisières

– le 26 mars 2015 : le Silver Whisper avec 382 passagers à bord

– le 6 avril 2015 : l’Orion avec 196 passagers à bord

Cambriolage d’un malade à l’hôpital

Le 25 février dernier, une personne hospitalisée au Centre hospitalier de Mamoudzou aperçoit un individu entrer dans sa chambre d’hôpital alors qu’elle est alitée.

L’homme dérobe ses affaires, vêtements et téléphone portable.

Le voleur indélicat a été identifié quelques jours plus tard et placé en garde à vue au commissariat hier par la police où il a reconnu les faits.

   

 

 

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le Détecteur de fumée obligatoire au 8 mars

La Préfecture de Mayotte rappelle qu’en application de la loi n° 2010-238 du 9 mars 2010, chaque logement d’habitation devra être équipé d’un détecteur de fumée au plus tard le 8 mars 2015.

Sont concernés : les résidences principales comme secondaires, les immeubles collectifs ou les maisons particulières, utilisés même partiellement, les logements de fonction comme les locations saisonnières.

L’assemblée nationale a accordé un délai supplémentaire d’installation jusqu’au 1er janvier 2016, mais aux seuls bailleurs d’un parc important de logements. Ils devront cependant avoir signé avant le 8 mars 2015 un contrat d’achat de détecteurs.

Le texte ne concerne pas les bailleurs individuels. Lorsqu’un logement est loué, c’est au propriétaire de fournir et d’installer le détecteur mais c’est au locataire de l’entretenir, notamment de changer les piles, et le remplacer en cas de défaillance. Cette règle a cependant quelques exceptions, dans le cas des logements saisonniers, foyer-logement, résidence hôtelière à vocation sociale, logement de fonction ou location meublée, où le propriétaire est intégralement responsable. Le détecteur doit répondre à certaines fonctionnalités basiques : détecter les émissions de fumées dès le départ d’un incendie et émettre un signal suffisamment fort pour avertir les occupants, même en plein sommeil. Pour choisir le détecteur, il est impératif de bien vérifier la conformité de l’appareil à la norme européenne harmonisée NF EN 14604.

Pour tout complément d’information vous pouvez consulter le site internet du Ministère du Logement, de l’Égalité, des Territoires et de la Ruralité : www.territoires.gouv.fr ou vous rapprocher de la : DEAL (remblai de M’Tsapéré), Unité Politiques de l’Habitat et des Constructions Durables, Bureau C 213. Contact : Lydia CONSTANT au 02 69 60 92 93.

   

 

 

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Un agent de la préfecture refuse la corruption

Mercredi matin devant le service d’accueil aux étrangers de la préfecture à Mamoudzou, un homme qui venait tenter de régulariser sa situation ne voulait pas attendre au bout de la file.

Il se présente alors face au personnel de sécurité et propose 20€ à un gardien pour le faire pénétrer dans la préfecture afin d’accomplir ses démarches. Mal lui en a pris, car l’intègre agent l’a dénoncé et a porté plainte contre lui pour tentative de corruption de fonctionnaire.

Les hommes de la sécurité de la Préfecture ne sont pas des vigiles de boites de nuit…

   

 

 

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Un jeune créateur mahorais made in France

Originaire de Pamandzi et Sada et étudiant à Toulouse, Chamsidine Azdine est un créateur qui a créé sa propre marque de vêtements.

Luxueuse, mais aussi urbaine, la marque porte le nom de “Futur” et a le mérite d’être une création 100% made in France, à l’heure où une certaine tendance se tourne vers la Chine ou la Thaïlande.

Tous types de produits textiles sont ainsi disponibles : costumes, polos, pantalon, pulls, t-shirts, chemises…

Une initiative de création bien originale qui devrait satisfaire bon nombre d’amoureux de la mode

   

 

 

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Il menace de s’immoler par le feu

Hier à 8h du matin à M’tsapéré, un homme ne s’entendant pas avec ses voisins a commencé à mettre le feu à un échafaudage.

Les pompiers sont alors intervenus pour éteindre l’incendie. Ils ont trouvé l’homme un bidon d’essence à la main.

Il a menacé de s’immoler par le feu. Les pompiers et des membres de sa famille l’ont amené à la raison.

Il a été interpellé par les forces de l’ordre.

   

 

 

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Combani : règlement de compte à la machette

Ce matin à Combani, aux alentours de 10h, un jeune homme a agressé violemment sa femme, son propre fils, sa belle-mère et sa belle-sœur à coups de machette.

Il n’aurait pas supporté la récente séparation avec sa femme. Un témoin l’a entendu crier juste avant l’agression : « Puisque vous ne voulez pas de moi, je vais vous éliminer ! »

La belle-mère est décédée, la femme est grièvement blessée. Les deux autres personnes sont légèrement blessées.

La gendarmerie a mobilisé plusieurs brigades spécialisées pour arrêter le criminel. 

   

 

 

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Combani : règlement de compte à la machette (2)

Hier à 8h du matin à M’tsapéré, un homme ne s’entendant pas avec ses voisins a commencé à mettre le feu à un échafaudage.

Les pompiers sont alors intervenus pour éteindre l’incendie. Ils ont trouvé l’homme un bidon d’essence à la main.

Il a menacé de s’immoler par le feu. Les pompiers et des membres de sa famille l’ont amené à la raison.

Il a été interpellé par les forces de l’ordre.

   

 

 

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Le festival de l’image sous-marine remonte à la surface

« Cette année c’est l’année du changement », prévient Jack Basse, coordinateur du festival de la mer et de l’image sous-marine. « Pour la 21èmeédition (du 22 au 31 mai 2015), nous sortons du cadre étroit de l’image sous-marine pour s’ouvrir au monde plus vaste de la mer », poursuit-il. « Tous les amoureux de la mer sont conviés à cette rencontre qu’ils soient amateurs (loisirs) ou professionnels (pêche aquaculture, métiers de la mer…) ». La rencontre aura lieu sous la forme d’un salon, avec des stands d’exposants, et des projections en plein air-le soir- autour du comité de tourisme à Mamoudzou. Le festival invite les clubs de plongée, les professionnels de la formation liés aux métiers de la mer, le Service des Transports Maritimes (STM), les vendeurs de matériels marin ou encore les plaisanciers à tenir un stand.

Le festival organise par ailleurs comme chaque année ses différents concours : films, images fixes (photos et portfolios), portfolio, trio thématique (3 diapositives ou 3 images numériques), montages audiovisuels et la musique et la mer (composition musicale originale sur le thème de la Mer et du Monde Sous-marin). Les concours sont ouverts à tous. Il est nécessaire de se procurer la fiche d’inscription (gratuite) et le règlement sur le site du festival (festimayotte.com), sur le site du comité de tourisme (mayotte-tourisme.com), ou à la salle de cinéma de la Direction de l’Ingénierie et de la Logistique Culturelle et Evénementielle (DILCE) du Conseil Général (bureau du régisseur : 02 69 64 95 18). A noter que la Maison des Livres offre le papier à chaque concurrent  Les inscriptions et les envois sont à envoyer à la DILCE, rue Mawamé, BP 101, 97600 Mamoudzou avant le 17 avril 2015 (avant le 17 mai 2015 pour les concours d’affiche et de musique). De plus, des séances sont proposées en matinée aux élèves à la salle de cinéma (réserver au préalable au vice-rectorat ou directement à la salle.

O.L.

 


Le palmarès 2014

– Prix de la musique et la mer : la classe de 6e du collège Zéna M’Déré de Petite Terre

– prix de la photo imprimée : Maryse Corti

– trio thématique : Hippocampe d’or à Yannick Stephan

– Portfolio : Hippocampe d’or à Pierre Riboulon

– Montage audiovisuel : hippocampe d’or à Yves Guenot (La Réunion)
Films :

– Prix du Parc Marin de Mayotte : Pierre Riboulon pour « Les richesses du lagon mahorais »

– Prix spécial du jury : Arnaud Lebosse et Benjamin Demarson pour « Les dessous du lagon » avec la classe de 4e L du collège de Mtsamboro

– Hippocampe d’or des films « petit format » : Marielle Perreaux pour « Boule de poissons »

Édito : 3èmes Trophées mahorais de l’entreprise, parce que Mayotte bouge !

Dans un territoire où 70% de la valeur ajoutée provient des administrations, où 70% des salaires sont versés par des administrations et services publics, il nous est apparu opportun de valoriser les entreprises de toutes tailles, de tous secteurs.

Une douzaine de partenaires et institutions, travaillant autour, pour, avec les entreprises ont accepté de nous accompagner et font partie du jury. Il y a le conseil général et la préfecture avec leurs services économiques, les trois chambres consulaires (CCI, CMA, Capam), les syndicats d’employeurs (Medef et CGPME), les experts-comptables rassemblés dans le Centre de gestion agréé, le Conseil économique, social et environnemental de Mayotte, la CSSM lors de la 1ère édition, l’AFD-Oseo. Seul ce jury sélectionne les candidats, les nominés, puis vote pour les lauréats après une présentation de chacun dans les colonnes du Mayotte hebdo. Lors d’une première rencontre, des dizaines de noms sont « lancés à la volée », et après discussion et un premier vote, il n’en reste que 5 par catégorie. Ce qui permet déjà de dessiner un panorama du dynamisme économique de Mayotte cette année.

A travers les 5 catégories, l’occasion est donnée une fois par an de mettre en avant les entreprises dynamiques, par leurs investissements sur le territoire, par les emplois qu’elles créent. La Sodifram il y a deux ans avait emporté ce prix, avec ses nombreux investissements et projets, puis Moïse Issoufali et son père Paul l’an dernier pour leur projet immobilier et leur participation au lancement de la compagnie aérienne Ewa.

Dans un territoire aussi jeune que Mayotte, une autre catégorie rassemble les entreprises de moins de 3 ans d’existence. Des partenaires comme la Boutique de gestion, l’Adie et la Couveuse d’entreprises, membres du jury à part entière eux aussi, participent ainsi à nous présenter des jeunes porteurs de projets, sur lesquels nous mettons alors les spots en les présentant à travers nos pages.

Et ça tombe bien, car c’est au lancement d’une activité que l’on a besoin de se faire connaître, de communiquer pour trouver des clients, et que l’on a souvent le moins de moyen. L’an passé, Saboutia Abdourahamane, jeune agricultrice à l’origine de Jardin d’Eden, avait emporté ce prix. Elle a gagné la semaine dernière un nouveau prix au Salon de l’agriculture à Paris pour ces délicieuses confitures, à découvrir… L’année précédente, c’étaient les frères de SMQS-SQBTP qui avaient gagné ce trophée.

Partager cette image dynamique de Mayotte qui bouge est clairement inscrit dans les gènes de la Somapresse et du Mayotte Hebdo notamment. C’est ainsi que parmi les entreprises qui seront présentées ces prochaines semaines, il y a celles qui ont été nominées dans la catégorie innovante. Elles nous proposent de nouveaux produits, de nouveaux services, et on dit encore souvent qu’à Mayotte il y a beaucoup à faire. La société Serv’in avait emporté ce prix l’an passé avec son service de livraison de repas à domicile, ou sur son lieu de travail, s’approvisionnant dans de nombreux restaurants de la place.

Parmi les valeurs qui nous paraissent importantes à mettre en avant avec les entreprises, il y a la « citoyenneté ». Cela comprend des mesures prises par l’entreprise en interne, en termes de formations, de cadre de travail, de préservation de l’environnement, par son activité même, mais aussi au-delà de ses murs, par son implication dans la société : son soutien à des actions, des manifestations sportives, culturelles, environnementales. C’est ainsi que SFR il y a deux ans et la société Eco briques, qui relance cette filière d’avenir qu’est la brique en terre crue, avaient été lauréates de ce trophée.

Dans ces Trophées mahorais de l’entreprise, l’idée a été clairement, dès le départ, de valoriser des équipes, des entreprises, avec tous leurs salariés, tous ceux qui œuvrent au quotidien, à leur niveau, à la satisfaction des clients. Mais une entreprise est aussi portée par un homme, une femme qui s’engage, qui s’implique plus que les autres, qui porte la « baraque » sur ses épaules, qui se sent parfois un peu seul. Un chef d’entreprise prend des risques, essaie, espère que le produit, le service qu’il lance va plaire, va trouver ses clients. Il doit faire face à des difficultés quotidiennes, gérer les imprévus, les soucis, les absences, les retards, la trésorerie…

Il doit faire avec des hauts, et des bas, il doit relever la tête sans arrêt, malgré la fatigue, l’inquiétude. Il doit mobiliser ses « troupes », encourager, féliciter, mais aussi sévir quand il le faut. Il doit se faire respecter, par son travail, par son efficacité, sa capacité à « tenir la boutique » malgré les vents contraires parfois, malgré la concurrence, parfois déloyale, parfois virulente, parfois malgré l’absence de concurrence…

C’est pour ces raisons aussi qu’un prix concerne le manager de l’année. La société dirigée par Enzo di Girolamo il y a deux ans avait emporté ce prix. L’an passé c’est Feyçoil Mouhoussoune de la société de services informatiques Etic qui avait reçu ce prix.
Il y a enfin un prix spécial, du jury. Mohamed Hassanaly « de Gaulle », puis Aziz Sam Akbaraly l’an dernier ont reçu ce trophée, des mains d’amis, sous l’œil attentif des nombreux invités, parmi lesquels les parlementaires, les dirigeants du conseil général, de la préfecture, de nombreuses administrations, et des chefs d’entreprises. Car il s’agit bien d’une soirée festive, une occasion de se rencontrer, de discuter, devant un panorama positif de Mayotte, qui bouge !

Laurent Canavate

Corsair ne sera pas racheté

Alors qu’un communiqué daté du 15 février faisait état d’un très probable rachat de la Compagnie Corsair par le groupe vendéen Dubreuil, propriétaire de la compagnie Air Caraïbes, un nouveau communiqué des 2 groupes concernés a mis fin à cette éventualité. 

En effet, dans ce nouveau communiqué, Corsair signale que « malgré les efforts de ces dernières semaines, les parties ont conclu qu’elles ne seront pas en mesure de mener à son terme le projet de cession de la compagnie Corsair. » et que par conséquent elles mettent « fin à leurs discussions relatives au projet de transaction »
   

 

 

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Combani : règlement de compte à la machette (2)

Ce matin à Combani, aux alentours de 10h, un jeune homme a agressé violemment sa femme, son propre fils, sa belle-mère et sa belle-sœur à coups de machette.

Il n’aurait pas supporté la récente séparation avec sa femme. Un témoin l’a entendu crier juste avant l’agression : « Puisque vous ne voulez pas de moi, je vais vous éliminer ! »

Une des personnes agressées est décédée, une autre est grièvement blessée. Les deux dernières sont légèrement blessées.

La gendarmerie a mobilisé plusieurs brigades spécialisées pour arrêter le criminel. 

   

 

 

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Le tri fête son 1er anniversaire : un bilan positif !

Le tri sélectif, mis en place par la société privée à but non lucratif Eco-emballages, en partenariat avec les instances administratives de l’île, a fêté hier sa première année d’existence sur notre île. Le directeur général d’Eco-emballages, Monsieur Eric Brac de La Perrière a tenu à se déplacer en personne afin de fêter dignement cet anniversaire qui fait office de symbole fort des avancées en matière d’environnement sur l’île aux parfums.

Dans un discours dont une partie a été prononcée en shimaore, Monsieur Eric Brac de la Perrière a donc remercié ses partenaires et s’est félicité des avancées considérables qu’il a pu constater dans le domaine du tri des déchets à Mayotte en l’espace d’une seule année. Il a également rappelé les avantages qu’ont les communes à faire le tri des déchets, tant sur le plan environnemental qu’économique.

150 « tri-O » ont déjà été installés à ce jour sur notre territoire et le directeur général a annoncé l’installation de dizaines d’autres très prochainement. Le terme « tri-O » désigne les grandes bennes à ordure dont la couleur spécifique correspond à un certain type de déchet, ce qui permet ensuite de pouvoir les recycler plus aisément.

En un an les « tri-O » on recueilli 233 tonnes d’emballages : 66 tonnes d’acier et d’aluminium, 80 tonnes de bouteilles et flacons plastiques et 97 tonnes de verre.

Monsieur Bamcolo Assani Saindou, président du SIDEVAM 976, le nouveau syndicat en charge de la collecte et du traitement des déchets, a également prononcé un discours pour l’occasion. Eco-emballages et SIDEVAM 976 sont en effet partenaires dans la collecte des déchets ménagers, Eco-emballages s’occupant des déchets recyclables et SIDEVAM des déchets ultimes.

« Le tri-O constitue une véritable barrière contre la pollution sur le long terme »

Une délégation d’élus parlementaires sensibles à l’environnement était également présente. Invitée à venir visiter les sites de Mayotte sur une durée de 3 jours, elle a été sensibilisée aux graves problèmes environnementaux auxquels l’île est confrontée aujourd’hui, malgré les progrès réalisés par la récente mise en place du tri sélectif.

Afin que cet anniversaire représente aux yeux de la population un symbole véritablement fort, diverses animations culturelles ont été organisées par l’agence de communication « Bouche à oreille », en partenariat avec plusieurs associations de l’île dont les Naturalistes et les Céméa. De jeunes artistes mahorais ont ainsi slamé sur le thème des déchets et un groupe d’élèves de la commune de Dzaoudzi a joué plusieurs petites scénettes pédagogiques soulignant le rôle fondamental du tri des déchets dans la préservation de l’environnement.

N.G

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