En plein cœur de M'Tsapéré, un barbershop s'est invité dans le paysage économique du quartier. À sa tête, un jeune étudiant en architecture de 24 ans qui s'est pris de passion pour ce milieu. Moins d'un mois après son ouverture, la nouvelle adresse cartonne déjà. Rencontre.
Ce lundi à la préfecture, le délégué du gouvernement dressait un portrait satisfaisant de la programmation des fonds européens à Mayotte. Une consommation quasi complète des crédits qui cache toutefois quelques difficultés à faire sortir les projets de terre.
Les commerçants illégaux des trottoirs qui bordent le marché couvert de Mamoudzou se sont réunis ce mardi pour manifester leur mécontentement alors que l’arrêté du maire leur interdisant d’y écouler leurs marchandises est entré en vigueur lundi. Façon débrouille et face à l’absence de solution satisfaisante de la mairie, ils ont finalement posé bagages quelques mètres plus loin...
En plein cœur de M'Tsapéré, un barbershop s'est invité dans le paysage économique du quartier. À sa tête, un jeune étudiant en architecture de 24 ans qui s'est pris de passion pour ce milieu. Moins d'un mois après son ouverture, la nouvelle adresse cartonne déjà. Rencontre.
Ce lundi à la préfecture, le délégué du gouvernement dressait un portrait satisfaisant de la programmation des fonds européens à Mayotte. Une consommation quasi complète des crédits qui cache toutefois quelques difficultés à faire sortir les projets de terre.
Les commerçants illégaux des trottoirs qui bordent le marché couvert de Mamoudzou se sont réunis ce mardi pour manifester leur mécontentement alors que l’arrêté du maire leur interdisant d’y écouler leurs marchandises est entré en vigueur lundi. Façon débrouille et face à l’absence de solution satisfaisante de la mairie, ils ont finalement posé bagages quelques mètres plus loin...
Début juin, nous avons appris le départ pour Brest du procueur de la République Camille Miansoni. Jeudi dernier, ce dernier a tiré sa révérence au cours d'une audience solennelle avant de définitivement quitter le territoire vers le 15 octobre. Le magistrat du ministère public a accepté de revenir exclusivement pour Flash Infos sur son passage sur l'île aux parfums.
La bâtisse rose et délabrée s’élève à côté des locaux de Solidarité Mayotte. Depuis des années, des centaines de demandeurs d’asile originaire de l’Afrique des Grands Lacs y ont trouvé refuge, dans l’attente d’une réponse positive de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) sur leur statut. Or, ce mercredi au tribunal correctionnel de Mamoudzou, c’est le propriétaire des lieux qui était appelé à la barre. Ce qu’on lui reproche ? Avoir soumis des personnes vulnérables à des conditions d’hébergement incompatibles avec la dignité humaine, et aidé au séjour de personnes en situation irrégulière sur le territoire. Des faits passibles respectivement de 5 ans d’emprisonnement et 150.000 euros d’amende et 3 ans de prison et 50.000 euros d’amende. “Les personnes mentionnées sont vulnérables, certaines fuient la guerre. Et c’est d’ailleurs pour ça qu’elles acceptent ces conditions”, insiste la substitute du procureur.
Un homme a éborgné sa compagne il y a cinq ans à Passamaïnty. Entendu ce mercredi au tribunal correctionnel de Mamoudzou, le prévenu a enchaîné de graves maladresses face aux juges. Des propos qui illustrent bien le phénomène de culpabilisation de la victime dans les affaires de violences conjugales.
Après avoir renoncé au “politiquement correct” sur les antennes de Mayotte la 1ère, le 31 août dernier, en imputant directement la délinquance de ces dernières semaines à l’interruption des éloignements du fait de la crise sanitaire, le préfet a annoncé vouloir suspendre ou supprimer les titres de séjour pour les parents qui ne respectent pas le “contrat social”.