La base de défense Réunion-Mayotte a officiellement créée mercredi à la caserne Lambert, à la Réunion. Cette mesure intervient dans le cadre de la réorganisation des armées. "La diminution des moyens nous oblige à optimiser les modes de fonctionnement" explique le commandant Bertrand Mortemard de Boisse. Il s'agit en fait d'un organisme interarmées (Terre, Air et Marine) qui agira en soutien aux unités opérationnelles. Alors que jusqu'ici chaque armée assurait son propre soutien, la collaboration des trois unités devrait permettre d'être plus efficace. La base de défense Réunion- Mayotte est la première à voir le jour dans un département d'Outremer, et fait office de projet pilote. Basée à la caserne Lambert, elle agira en collaboration avec les antennes de Sainte- Marie, du Port, de Pierrefonds et de Mayotte, pour un effectif total de plus de 2.200 militaires, rapporte le Quotidien de la Réunion. 4 200 militaires de la base aérienne 181, de la base navale, du 2ème RPIMa, ainsi que le détachement de la légion étrangère de Mayotte étaient réunis mercredi matin à la caserne Lambert pour une prise d'armes. C'est le commissaire colonel François-Alain Serre qui est en charge de ce groupement de soutien, mis en place depuis le 1er janvier 2010, et dont l'objectif est de mutualiser les moyens. Une cérémonie de remise de médailles de la défense nationale a également eu lieu à cette occasion. 5 militaires se sont vus remettre la médaille de la défense nationale échelon or, deux ont reçu l'échelon argent.
11/02/2010 – Education : Danse
{xtypo_dropcap}S{/xtypo_dropcap}ubjugués par cette apparition, les jeunes ont spontanément formé un cercle autour des trois danseurs et de Jeff Ridjali, chorégraphe, qui officiait au n'goma pour l'occasion.
Après avoir sonné le rappel général au moment de la sortie des élèves, la chorégraphie menée par les trois danseurs du ballet, Soimnou Mohamed, Balthazar Saïd Mohamed et Abdillah Mohamadi a démarré au son du tambour. Vingt minutes de chorégraphie au milieu de la cour, sous le regard particulièrement attentif des élèves et des personnels du collège.
"Les enfants se sont mis spontanément en cercle comme pour un mouringue, ils étaient très attentifs et participatifs", relatent Jeff Ridjali et Isabelle Camatte, respectivement directeur et chorégraphe de la troupe, particulièrement ravis.
Susciter une réflexion chez les jeunes
Côté danseurs, ces derniers ont senti une réelle interaction avec leur jeune public. "Quand je dansais, j'entendais les jeunes parler de ce que je faisais, réagir…", indique Soimnou Mohamed, "cela prouve qu'ils ont déjà une certaine lecture chorégraphique", reprend Isabelle Camatte. La troupe semble avoir été à la fois séduite et touchée par la réaction des collégiens.
Les adolescents quant à eux ont fait part de leur ravissement à Marie-Paule Kpebe, professeur d'EPS spécialisée en danse, en charge des élèves en classe danse : "c'est rare qu'on nous offre ça !", lui ont-ils dit.
La récré-danse devrait donc se répéter dans l'année, sûrement une fois par trimestre. "C'est un devoir !", s'exclame Jeff Ridjali, convaincu par cette première expérience. "Nous voulons par ce biais susciter chez ces jeunes une réflexion sur la culture", ajoute-t-il. L'idéal serait que l'équipe pédagogique se fasse le relai de cette réflexion en consacrant ne serait-ce que quelques minutes de discussion avec les élèves au sujet de cette apparition impromptue dans leur cour de récré.
"Hors les murs"
Cette première expérience s'inscrit dans un cadre plus vaste, une série d'impromptus baptisée "Hors les murs" qui devrait démarrer sous peu. Cette action vise à sortir la danse du cadre de représentation traditionnel et aux danseurs d'aller eux-mêmes à la rencontre du public et "occuper l'espace", selon les danseurs. Des opérations de ce type seront menées un peu partout sur l'île dans des lieux inédits.
Concernant le collège de Tsingoni, il nourrit l'ambition de devenir un véritable "pôle danse" puisqu'il bénéficie d'une part de la présence du ballet de Mayotte en résidence dans ses locaux, et qu'il est le seul établissement à proposer une section sportive danse. Reste à savoir si le suivi au niveau lycéen puis universitaire sera assuré dans les années à venir. Nul doute en tout cas que la récré-danse aura suscité la curiosité des élèves quant à cet art, à en croire le petit attroupement autour des danseurs une fois la représentation achevée.
Marion Châteauneuf
11/02/2010 – Education : Chorale
{xtypo_dropcap}E{/xtypo_dropcap}xit le répertoire ultra classique, la chorale du collège de la Cité du nord travaille sur les tubes de Bo Houss ! En effet, après avoir accompagné une première fois le jeune chanteur lors du Téléthon de décembre 2009, les 18 élèves de la chorale vont renouveler l'expérience à l'occasion de leur concert annuel le 24 février prochain.
Sous la direction de Willy Ramboatinarisoa, professeur de musique, l'atelier chorale regroupe 18 élèves : 17 filles et 1 seul garçon. "Les garçons ne se sont pas présentés au début, ils pensaient que l'on chantait de l'opéra ! Lorsqu'ils ont vu ce que l'on faisait ils se sont bousculés pour s'inscrire, mais c'était trop tard…", relate M. Ramboatinarisoa.
Malgré la seule présence masculine dans le groupe, le professeur a réparti les élèves selon trois tonalités : soprano, alto et ténor. Le but étant évidemment de travailler sur la combinaison de ces voix : "Ces jeunes ont énormément de rythme, comme tous les Mahorais, par contre la polyphonie est plus délicate et c'est donc sur cela que nous travaillons".
Si en début d'année les adolescents ont travaillé les chansons de Yannick Noah, c'est désormais le répertoire de Bo Houss qui est à l'honneur. "Je connais le chanteur car je l'accompagne parfois lors de concerts et je lui ai parlé de l'atelier, il a tout de suite été intéressé, quant aux jeunes, ils ont tout de suite été enchantés de travailler ses chansons", explique le professeur.
Une pression familiale bien présente
Ce sera donc lors du concert annuel de la Cité du nord que les élèves accompagneront Bo Houss sur une dizaine de chansons, dont "Masterehi" ou encore le zouk love "Flera yangu".
Inutile de décrire l'excitation générale qui règne dans la salle audiovisuelle pendant les répétitions : "il est si beau !", s'exclame une jeune chanteuse.
Si ces jeunes n'ambitionnent pas de faire un jour carrière dans le chant, ils éprouvent tous un réel plaisir à chanter. "Je fais ça pour mon plaisir, cela me fait du bien, quand l'atelier est fini, je me sens plus légère…", explique une jeune fille.
Pourtant, les jeunes chanteurs subissent une certaine pression familiale quant à cette activité pourtant ludique : "mes parents m'autorisent à venir, mais uniquement parce que l'atelier se fait dans le cadre scolaire. Autrement, ils disent que ce n'est pas respectueux de notre religion…", souligne une des choristes. En effet, dans le Nord de l'île, resté très traditionnaliste, l'incursion de la musique, surtout occidentale, est vue d'un œil méfiant. "En dehors de la musique religieuse, je ne chante pas", ajoute une adolescente.
Pour ne froisser personne, les chansons ont d'ailleurs été choisies de manière unanime par les élèves et leur professeur. "Certaines chansons parlent de religion et les élèves ne se sont pas sentis à l'aise avec, nous avons donc choisi de ne pas travailler dessus", explique Willy Ramboatinarisoa.
Marion Châteauneuf
11/02/2010 – La JCE encore plus citoyenne en 2010
{xtypo_dropcap}M{/xtypo_dropcap}ayotte hebdo : 2008 et 2009 ont été des années plutôt positives pour la Jeune chambre économique de Mayotte; beaucoup d'actions ont été mises en place. Quel bilan en tirez-vous ?
Madi Abdou N'tro : Pour le bilan de l'année 2009, il y a trois points principaux que nous retenons. D'abord, en termes d'effectifs, la JCE est passée de 15 membres actifs à 22. Une bonne progression, qui s'observe aussi chez les membres observateurs, puisqu'il y en a actuellement 15. De plus, les perspectives de croissance de l'effectif sont très intéressantes pour 2010. Nous pensons effectuer de nombreuses intronisations cette année, et nous tablons sur un effectif total de membres actifs d'une trentaine de personnes pour la fin 2010.
Au niveau des actions, nous en avons pérennisé quatre majeures, et toutes les actions qui ont été présentées en 2009 ont été réalisées. Il faut ici rendre hommage à Samir Abdoussalam (Président JCE sortant, ndlr), qui s'est mobilisé toute l'année pour ce franc succès. Je peux citer par exemple la participation de la JCE au Forum économique des îles de l'océan Indien, qui a assuré l'organisation des rencontres B to B. c’est une commission qui était dirigée par Zakia Chadouli.
Il y a eu également l'action portée par Fayza Bakari : "Mon livre, mon trésor". Une action éducative qui vise à permettre aux jeunes écoliers de découvrir la richesse de la littérature et de la langue française, en participant à un concours littéraire, et dont les participants sont récompensés en recevant des livres et des manuels scolaires. C'est une action qui a commencé en 2009 et que nous allons bien sûr reconduire en 2010. Une autre belle réussite à signaler, celle de la Nuit du cinéma. C'est une initiative qui vise à promouvoir le 7ème art dans les villages. La première projection a eu lieu au mois de novembre, à Ouangani, et d'autres sont prévues dans les prochaines semaines.
Enfin, le training job café, dirigé par Adrien Michon. Cela consiste à aider des demandeurs d'emploi dans leur recherche, dans la préparation et l'élaboration des CV, des lettres de motivation et des entretiens. Sous le principe du speed dating, les candidats passent des entretiens fictifs avec des chefs d'entreprises. Ca leur permet de s'entrainer, de voir ce qu'il faut modifier et corriger. Grace à cette action, nous avons pu placer une dizaine de jeunes demandeurs d'emploi. Nous espérons reconduire cette action cette année, d'autant qu'elle est reconnue nationalement.
Au niveau du rayonnement régional et international, notre section locale a été présente à toutes les rencontres nationales, au congrès de zone qui s'est déroulé à Yamoussoukro et enfin au congrès mondial qui s'est tenu en Tunisie, à Hammamet. Globalement, on peut dire que 2009 a été une très bonne année pour la JCE, et les perspectives 2010 s'annoncent bien également.
Mayotte hebdo: Vous vous retrouvez à la tête de la JCEM pour un an. Au delà des actions que vous venez de citer, et qui devraient être pérennisées, quelles sont les nouvelles actions qui vous tiennent à cœur de mettre en place en 2010 ?
Madi Abdou N'tro : Toutes nos actions seront reconduites, mais cette année nous allons spécialement travailler sur le projet "Osaka 2010", où toutes les JCE et JCI de114 pays se retrouveront en novembre pour le congrès mondial. Cette action se mènera en concertation avec la fédération.
Pour nous, ce déplacement revêt plusieurs intérêts. C'est d'abord l'occasion de rencontrer les 200.000 membres des JCE au travers le monde, de bénéficier de formations et de conférences thématiques animées par des chefs d'entreprises du monde entier. Mais notre projet c'est d'y tenir un stand pour faire la promotion de Mayotte sur les plans touristique et économique.
Nous envisageons aussi de mettre en place le premier symposium des chefs d'entreprises de Mayotte. Le but, c'est que de jeunes chefs d'entreprises qui viennent de lancer leur activité puissent bénéficier des conseils de patrons plus expérimentés, mais aussi de créer un espace de rencontres et d'échanges pour que les acteurs du monde économique mahorais puissent développer leurs réseaux et leurs activités.
Enfin, nous voudrions contribuer au lancement du premier conseil municipal jeune à Mayotte, en partenariat avec une collectivité. Nous y travaillons déjà. Ces CMJ existent depuis 1994 en Métropole, et ont pour vocation de permettre aux jeunes de se familiariser avec l'action politique et de prendre réellement part à la vie de la cité. C'est, à mon sens, une belle action de démocratie citoyenne. Et puis il y a les formations, l'action essentielle et nécessaire des JCE. Nous proposons à nos membres et observateurs de nombreux modules de formations, comme la découverte et la connaissance du mouvement, mais aussi un module qui porte sur le montage de projet, où l'on apprend comment les construire et les vendre.
Mayotte Hebdo : La JCE c'est quoi exactement, et comment faire pour vous rejoindre ?
Madi Abdou N'tro : La JCEM a été crée en 2002, par une poignée de jeunes chefs d'entreprises. C'est une association régie par la loi de 1901 et reconnue d’utilité publique par décret du 10 juin 1976.
Elle s'est ensuite étoffée et est aujourd'hui regroupée avec les deux entités de la Réunion dans une fédération qui est elle rattachée à la Jeune chambre économique française, qui elle-même est rattachée à la Jeune chambre internationale (JCI), dont le siège social se trouve à Chesterfield, aux Etats-Unis. A Mayotte, nous comptons 25 membres et 15 observateurs. Le but profond de la Jeune chambre est de rassembler des jeunes citoyens dynamiques et motivés de tous bords, qui ont envie de s'engager dans la vie de la cité.
L'engagement se traduit par le montage et la réalisation d'actions qui permettent d'améliorer la vie des citoyens. Ces actions peuvent traiter de questions économiques, politiques, sociales, culturelles, sportives… Intégrer la Jeune chambre offre indéniablement une promotion d'intégration sociale, et j'encourage beaucoup les jeunes chefs d'entreprises et cadres mahorais à nous rejoindre, car la JCE est une très belle école de citoyenneté, d'intégration, et de réussite.
Bill Clinton, Ban Ki-moon, Jacques Chirac, Nelson Mandela, pour ne citer qu'eux, sont tous des anciens membres JCE. C'est aussi un outil de réseau professionnel à travers le monde. La JCE, c'est comme une grande famille. Par exemple, lorsque que vous êtes membres JCE, lors de vos déplacements à l'étranger, dans un pays que vous ne connaissez pas, vous pouvez contactez la Jeune chambre locale qui s'organisera pour vous recevoir, vous loger et vous aider dans vos démarches. Ce réseau, c'est aussi une opportunité pour les chefs d'entreprises qui veulent trouver par exemple de nouveaux marchés ou développer leur activité à l'étranger, car nous sommes présent dan 114 pays, avec près de 200.000 membres à travers le monde.
Propos recueillis par François Macone
Contact :
Jeune chambre économique de Mayotte – Le mouvement des jeunes citoyens entreprenants.
Maison des Associations – Route du stade de Cavani – 97600 Mamoudzou.
Tél : 0639 69 38 43 – Télécopie : 0269 61 38 61 – mail : jcim@hotmail.fr
11/02/10 – Tribune libre : A quand l’ouverture de la médiathèque de Passamainty ?
Lettre ouverte à Monsieur le maire de la commune de Mamoudzou
Monsieur le maire,
Le village de Passamainty possède depuis 3 ans une médiathèque flambant neuve avec des ordinateurs derniers cris, du mobilier ainsi que toute la documentation et les livres nécessaires pour une structure digne de ce nom.
Cet équipement financé par l’Etat, le conseil général et la commune doit normalement permettre aux écoles primaires, aux collégiens, lycéens et aux structures socioculturelles du village, de découvrir et accéder aux nouvelles technologies (internet).
Force est de constater qu’à ce jour, cet équipement tant attendu par la population de Passamainty depuis 2007 n’a pas ouvert ses portes. On ne sait toujours pas les raisons qui font que cette structure n’est pas accessible aux jeunes du village; on sait toutefois qu’il y a un directeur recruté depuis un an, quatre agents et des CES qui sont payés par la commune à surveiller des ordinateurs, nettoyer des livres et les ranger.
Pendant ce temps, les jeunes passent leur journée au plateau polyvalent à jouer au football et au rond-point de la poste, parfois jusqu’à minuit, faute d’activité. Pendant les vacances scolaires, il suffit de passer le matin à côté du terrain de football pour voir ces jeunes jouer sous le soleil, alors qu’ils seraient mieux à l’abri à la médiathèque.
Hairoudine Anzizi,
président du comité de gestion des infrastructures sportives de Passamainty
11/02/2010 – Maoré Skim Cup 2010
Un cadre de rêve pour une finale disputée
L’association Wami venza maluja a organisé le 24 janvier dernier la finale de la seconde édition de la Mahoré skim cup sur l’îlot de M'tsanga Tsoholé (Sable blanc) non loin de Saziley. Dix jeunes finalistes privilégiés se sont affrontés pour décrocher les trophées et partager la passion d’une discipline qui monte à Mayotte.
{xtypo_dropcap}G{/xtypo_dropcap}lisser sur une planche sur M'tsanga Tsoholé, a priori l’idée paraît farfelue. Mais, même si le lagon mahorais n’offre pas de rouleaux comme cela peut être le cas sur la plage de Bondi beach à Sydney, il est tout à fait possible de s’adonner aux joies des sports de glisse. C’est le message que tente de faire passer depuis plusieurs années maintenant l’association Wami venza maluja (J’aime les vagues).
En décembre dernier, 55 enfants ont participé à la phase qualificative de la Mahoré skim cup sur la plage de Petit Moya en Petite Terre. Des épreuves de longueurs (glisse le long du rivage), de free style et de figures ont permis de sélectionner 7 garçons et 3 filles. Le jour de la finale, sous un soleil radieux, les dix finalistes se sont échauffés et entraînés sur la plage de Saziley, avant de disputer les épreuves dans le cadre paradisiaque de M'tsanga Tsoholé. Quelques parents, un maître-nageur-sauveteur et les membres de Wami venza maluja sont venus encourager les skimmeurs qui ont découvert le sport depuis seulement un an.
“L'association, qui cherche à promouvoir les sports de glisse à Mayotte, organise régulièrement des regroupements en vue d'initier et de perfectionner les enfants, et met du matériel à disposition des jeunes sportifs une fois que le virus – et pas celui de la grippe A – les a piqués”, déclare ainsi Christophe Bruel, trésorier de l’association.
Toutefois, comme pour toute finale sportive, la tension des participants était perceptible puisque les juges avaient mis l'accent sur la créativité et l'originalité des figures proposées. Chaque concurrent a eu droit à quatre passages, dont seuls les deux meilleurs ont été retenus. Tout l'intérêt était de trouver une juste mesure dans la prise de risque afin de séduire les quatre juges.
Une vainqueur expérimentée chez les filles et une compétition acharnée chez les garçons
Chez les filles, Lili Avendano, qui avait déjà participé à la première édition de la Mahoré skimboard cup et qui a davantage d'expérience, l'a remporté face à Assimara Ahamadi et Maïmouna Abdallah. Elle est donc repartie avec le splendide trophée et aura la chance de s'essayer à l'ULM grâce au sponsor Mayotte ULM. Ses deux concurrentes n'ont pas été tout perdu car pour la première fois de leur vie et sur une même journée, elles ont pris le bateau, nagé jusqu'au tombant avec des palmes, un masque et un tuba et vu l'îlot de M'tsanga Tsoholé. Au delà de la compétition de skim board, elles ont vécu une journée riche de découvertes et d'expériences aquatiques.
Chez les garçons, la compétition a été plus serrée puisque les juges ont dû départager des concurrents qui se tenaient dans un mouchoir de poche. C'est la régularité de Hamza Hassane qui lui a permis d'emporter le trophée avec une note de 16 sur 20, face à Dylan Heyser qui, avec 15.5 points, reste celui qui aura le plus impressionné les juges lors de son troisième passage. Par ailleurs, c'est Bryan Gallais qui s'octroie la troisième place sur le podium au détriment de Xavier Wunderle (champion lors de l'édition précédente). A 14 points chacun, il aura fallu regarder le troisième meilleur passage pour parvenir à les départager.
Hamza et Dylan sont repartis avec un bon pour s'essayer au wake-board grâce à “L’effet ski school”. Bryan pour sa part aura droit à un safari dauphin offert par Lagon Aventure. Quant aux autres, ils sont tous repartis avec différents lots (tee-shirts, casquettes et sacs) grâce aux différents sponsors (SFR) de l'association. Wami venza maluja espère que les bons souvenirs resteront et que l'envie de relever le défi des sports de glisse à Mayotte sera à nouveau de mise.
Faïd Souhaïli
10/02/10 – Les camions snacks sommés de quitter la jetée
Installés depuis plusieurs années aux abords du ponton, les snacks qu'on appelle communément le "camion jaune" et le "camion rouge" ont reçu récemment un courrier de la Direction de l'équipement leur demandant de quitter les lieux sous 10 jours, de même que "le Petit bleu", installé depuis quelques mois au niveau du parking sous le Barfly. Il apparait que ces commerces occupent illégalement le domaine public maritime – la fameuse ZPG – mais, à l'exception du "Petit bleu" qui a déjà reçu une mise en demeure, les deux camions n'ont jamais été inquiétés. "L'Etat reprend petit à petit la main sur le domaine public maritime et y remet de l'ordre", explique Christian Lafarie, chef du service aménagement de la DE.
"Nous avons étudié le dossier de ces installations, elles sont incompatibles avec le projet d'aménagement du front de mer, c'est pourquoi nous n'avons pas souhaité les régulariser et leur avons demandé de quitter les lieux. De plus, ces camions gênent le stationnement et la circulation, et depuis leur ouverture il y a eu des reventes d'emplacements totalement illégales puisque leur présence même est illégale." Rappelons que le projet d'aménagement du front de mer n'en est qu'aux études de faisabilité, il ne pourra pas sortir de terre avant 2014. La seule entreprise à bénéficier d'une autorisation est le camion "Casa Pizza", qui s'installe tous les soirs sous le Barfly.
10/02/10 – Une égalité sociale dès 2011
C'est le slogan du Parti social mahorais de Saïd Ahamadi "Raos" qui a exposé hier ses principaux chevaux de bataille dans l'optique du scrutin des conseillers territoriaux l'an prochain. Le PSM veut qu'une majorité progressiste s'empare du pouvoir à ce qui est encore le Conseil général et a pour l'occasion invité des représentants d'autres partis politiques comme Saïd Omar Oili du Néma, Mouhtar Salim du Modem et Chihabouddine Ben Youssouf. La priorité des priorités pour le PSM, c'est obtenir l'égalité sociale de tous les citoyens français de Mayotte par rapport aux Français des autres départements. "La nouvelle institution devra assumer toutes ses compétences, dans le cadre d'une décentralisation affirmée et non théorique, en matière d'aides sociales (RSA, APL, etc.), à l'instar des autres départements de France. C'est le sens même de l'égalité républicaine que nous défendons depuis des années à travers notre action militante" explique le président du PSM.
Le parti de Raos fait également de la transformation de Mayotte en RUP un objectif primordial. Le PSM considère que l'Europe sera un accélérateur du développement de notre île. Le PSM souhaite également mettre en place une politique de co-développement avec les îles voisines (Union des Comores, Madagascar) pour que l'afflux d'immigrés soit jugulé avec une amélioration des conditions de vie dans les pays de départ. L'habitat, l'éducation, le respect de la culture mahoraise, le règlement définif de la propriété foncière font également partie du programme du PSM.
09/02/10 – Préavis de grève au CHM
Après avoir fait envoyer la semaine dernière par sa direction nationale un courrier alertant la ministre de la santé Roselyne Bachelot de la situation du Centre hospitalier de Mayotte, la CFE-CGC, associée à la Cisma-CFDT et à la CGT-Ma, annonce le dépôt d'un préavis de grève illimitée à compter du mardi 16 février. "Considérant que la direction du CHM navigue à vue, et la plupart des fois, sans consulter la représentation du personnel et les organisations syndicales dans la prise des décisions concernant les travaux, les projets de service, le recrutement du personnel. Ce qui ne peut être sans conséquences dans le bon fonctionnement de l'établissement", précise le courrier des syndicats.
Ils réclament la réintégration immédiate des 22 agents contractuels non renouvelés au 31 décembre 2009 et leur inscription dans le tableau des intégrations dans la fonction publique hospitalière, "sachant que le CHM a participé à la négociation relative à l'intégration des agents de la fonction publique de Mayotte dans les fonctions publiques nationales et a signé l'accord cadre du 8 avril 2009". Ils réclament également le retour des services lingerie et restauration au CHM qui ont été externalisés, le reclassement de la catégorie C en tenant compte de l'ancienneté et l'extension de la majoration outre-mer à l'ensemble des agents exerçant au CHM.
09/02/10 – Sport / Volley-Ball – Le VCKB empoche un 7e titre consécutif
Le Volley Club de Kani-Bé a etrenné dimanche après-midi son 7e titre consécutif de championne de Mayotte de volley-ball à Sada. Les filles de Boucaïri Soulaïmana n'ont pas flanché puisqu'elles ont enregistré leur 13e victoire en autant de matches de championnat cette saison (3-0). Désormais, le VCKB prépare son déplacement à l'île Maurice pour la Coupe des clubs champions de l'Océan Indien du 9 au 22 mars au même titre que leurs adversaires du jour sadoises.
09/02/10 – Justice : Un nouveau pas vers le droit commun
Les avocats de Mayotte viennent de mettre en place la Caisse des règlements pécuniaires des avocats (CARPA ). Après leur levée de bouclier la semaine dernière pour réclamer à la Chancellerie la création d'une véritable cour d'appel indépendante des juridictions de l'île de la Réunion, les avocats de Mayotte font un pas de plus vers l'alignement du système judiciaire de l'île au droit commun, rapporte Emmanuel Tusevo sur le site internet de RFO. "L'importance de ce dispositif est de taille puisque nous allons nous conformer au droit commun, nous avons anticipé pour être à jour à l' heure de la départementalisation et l' autre changement, c'est que les maniements des fonds des justiciables de nos clients seront plus sécurisés", a dit maître Thani Mohamed, Bâtonnier de Mayotte. Bernard Vattier, ancien Bâtonnier de Paris et président de l'Union nationale des CARPA (UNCA), venu de la Métropole pour faire partager son expérience en la matière, a souligné l'intérêt de l'installation de cette caisse à Mayotte.
"Le barreau de Mayotte aura les moyens d'assurer la sécurité financière, le contrôle déontologique et il pourra prendre en charge la gestion des crédits d'aide juridictionnelle, par conséquent c'est une tâche extrêmement importante qu'accomplit actuellement le bâtonnier Thani Mohamed", a-t-il déclaré. La Carpa, créée pour la première fois à Paris en 1957, est une institution spécifique à la profession, qui sous la responsabilité des ordres d'avocats est chargée de réguler, sécuriser et contrôler les fonds reçus par les avocats pour le compte de leurs clients.
"La Carpa ne se substitue pas à la banque, mais adossée à celle-ci, assure la gestion des opérations de maniements de fonds des avocats dans le respect des principes généraux et de la déontologie de notre profession ", soulignait en 2007 Alain Marter, ancien Bâtonnier à la Cour d' Appel de Chambéry et Président de l'Union Nationale des Carpa (UNCA) à l'époque. Tout avocat a un compte ouvert à la Carpa de son barreau, ou commune à plusieurs barreaux dont le sien. Après plus de 50 ans d'existence, le concept Carpa est devenu un label de confiance, pour les pouvoirs publics, pour les clients et pour les avocats.
08/02/10 – 3ème Forum des études supérieures
Pour la 3ème année consécutive, le forum des études supérieures se tiendra dans les locaux de l'IFM de Dembéni, les mardi 9 et mercredi 10 février, de 8h à 15h. Organisé en partenariat avec le conseil général, ce forum permet aux 1.723 élèves de terminales générales et technologiques de s'informer sur les débouchés possibles après leur bac, à Mayotte et en métropole. Ces deux jours permettent aux futurs étudiants de rencontrer des enseignants de formations supérieurs, d'obtenir des réponses concrètes à leurs questions et de mieux s'informer sur la réalité des études qu'ils envisagent. Des séances d'information seront faites en continu par les conseillers d'orientation psychologues du Centre d'information et d'orientation du vicerectorat, elles seront ciblées par séries du baccalauréat. Un accent particulier est mis sur les métiers des secteurs sanitaire et social. Le forum doit également permettre aux élèves d'obtenir des informations pratiques sur la vie qui les attend en métropole. Lors du forum 2009, le vice recteur avait tenu un discours très ferme à une partie de ces visiteurs, leur expliquant qu'ils auront à travailler encore plus que leurs collègues métropolitains pour rattraper leur niveau de français plus faible, et qu'ils auront à acquérir très rapidement des réflexes de travail en autonomie. Chaque jeune bénéficiera d'une tranche horaire de 2 heures au cours de laquelle il assistera à une séance d'information de 30 minutes, assurée par un conseiller d'orientation psychologue et ciblée selon la série de baccalauréat. Il aura ensuite tout loisir de consulter de manière autonome les exposants qui l'intéressent sur le site. Afin de poursuivre ces journées d'information la brochure de l'Onisep "Après le Bac, choisir ses études supérieures", complétée par les formations proposées à Mayotte, sera remise aux élèves. Le forum bénéficie cette année d'une aide particulière du lycée professionnel de Kawéni. 16 élèves de 2nde année de baccalauréat professionnel service accueil viendront prêter main forte pour l'accueil et l'accompagnement des élèves de terminale et pour le service tout au long de ces deux journées.
08/02/10 – Les ados de l’Alefpa de la Réunion s’envolent pour Mayotte
Quatorze adolescents scolarisés en Impro (Institut médico-professionnel) par l'Alefpa (Association laïque pour l'éducation, la formation, la prévention et l'autonomie) de Bois d'Olives auront la chance de s'envoler pour Mayotte du 15 au 23 mai prochain grâce au soutien de diverses associations et autres donateurs privés, rapporte le site Clicanoo. Jeudi, les quatorze ados bénéficiaires du projet de voyage à Mayotte et leurs professeurs ont reçu avec bonheur le chèque de 2.500 euros que leur remettait le Rotary club de Saint-Pierre. "C'est un sacré coup de pouce par rapport au budget total de notre voyage qui va coûter près de 23.000 euros", déclarait jeudi la responsable du projet et ergothérapeute à l'Alefpa, Joëlle Lauret.
Le projet en question consiste à faire voyager ces jeunes âgés de 15 à 21 ans qui souffrent tous de déficience intellectuelle. "Partir ainsi dans un cadre complètement différent, c'est très intéressant pour ces jeunes pour l'apprentissage de l'autonomie. Autonomie par rapport à leurs familles, par rapport à tous les actes de la vie quotidienne qu'il va falloir faire (préparer ses bagages puis confectionner les repas ou encore songer à sa toilette et son habillage)… Et puis, ce voyage aura aussi permis une forte implication des ados pour le financement". Les jeunes de l'Alefpa se sont bien battus pour financer leur voyage. Ils ont organisé un dîner dansant le 11 décembre dernier et ont réalisé des dossiers pour convaincre d'éventuels financeurs de soutenir leur projet. Sur place, à Mayotte, les étudiants de l'Impro de Boisd'Olives vont pouvoir découvrir une culture différente de la leur, une culture qui est pourtant celle de certains de leurs camarades de classe.
"Une dizaine des 87 jeunes scolarisés à l'Alefpa sont originaires de Mayotte. En effet, il n'y a pas là-bas d'établissement spécialisé pour les enfants souffrant de déficience mentale ce qui pousse certains parents mahorais à venir s'installer ici. Leurs petits ne sont pas toujours bien accueillis. C'est important pour nous de changer le regard de nos étudiants réunionnais à l'égard du peuple mahorais, de ses traditions, de sa culture", résume Joëlle Lauret qui accompagnera en mai prochain les étudiants de l'Alefpa dans leur voyage.
05/02/10 – Labattoir, commune la plus accueillante…
Labattoir en a enfin fini avec sa mauvaise réputation de violence. Samedi dernier, la commune a reçu le prix de la commune la plus accueillante de Mayotte. Initié par le comité du tourisme, le prix a pour principal objectif de sensibiliser la population à l’accueil touristique et à ses enjeux. Chirongui, Tsingoni, Kani-Kéli sont quelques unes des huit communes à avoir participé. Il faut croire que le charme villageois n’a pas suffi à concurrencer la pugnacité de Dzaoudzi-Labattoir. L’année dernière, c’est Ouangani qui avait remporté le trophée.
05/02/10 – Le gendarme blessé à Mayotte est sorti de l’hôpital
Après plusieurs semaines en hôpital militaire, le gendarme blessé grièvement en décembre dernier a été autorisé à quitter le service où il était hospitalisé. Selon nos informations, ses blessures ne devraient pas lui laisser de séquelles importantes. Il va poursuivre sa convalescence au sein de sa famille. Dans le même temps, après 3 mois de mission, l'escadron de gendarmerie mobile de Vouziers, dont il faisait partie, vient de quitter l’île pour la Métropole. Ils étaient à Mayotte depuis octobre, pour participer au maintien de l'ordre.
05/02/10 – Samir repose en paix
Après plus de cinq années d’attente pour cause d'enquête, d'expertises et surtout parce qu’on n'avait toujours pas retrouvé ses géniteurs, le cadavre du petit Samir repose enfin à Mayotte. Samedi après-midi, l’enfant a été enterré dans le village de Tsararano, quelques heures après son arrivée. C’est là, que les enquêteurs ont retrouvé la trace de son père. L’enfant était hébergé par son oncle Ali Moussa et sa compagne à Montauban. Le 3 novembre 2004, il a succombé aux coups infligés par ses tortionnaires, après avoir enduré plusieurs années de maltraitances. Agé de 8 ans, le petit garçon affamé ne pesait que 17 kilos. Le couple a été condamné à 15 ans de réclusion.
05/02/10 – Les artistes de Mayotte se mobilisent pour Haïti
Mayotte Solidarité Haïti
L’Association des musiciens de Mayotte et le conseil général, en partenariat avec la Croix Rouge, Mayotte Hebdo, RFO, SFR et la MJC de Mamoudzou, organisent un grand concert en solidarité avec Haïti le 26 février 2010
Il se déroulera sur le site de la MJC de Mamoudzou à M'gombani, avec la participation de :
J. R. Cudza, Mikidache, Joe Fils, Babadi, Lathéral, Bacar Acoustic Band, Combo, Bo Houss, Bob Dahilou, Djesh, Kordjee, Elias, Zaïnoune, Chakires, Ubani Spirit, Baré. Cette liste n’est pas exhaustive, tous ceux qui souhaitent se joindre à cette initiative sont les bienvenus.
En collaboration avec Studio Mvangate, une Chanson sur Haïti sera enregistrée et fera l’objet d’un single tiré en 3.000 exemplaires.
En collaboration avec RFO, une vidéo de la Chanson sur Haïti sera enregistrée avec la participation de plus de 500 personnes des écoles et des associations. Cette vidéo sera tirée en 1.000 exemplaires.
Les recettes liées à ces manifestations et ces produits seront entièrement reversées à la Croix Rouge.
Vous pouvez également adresser dès à présent vos dons à la Croix Rouge Mayotte. Renseignement : Croix Rouge 0269.61.10.10
Association des musiciens de Mayotte : 0639.65.38.00
05/02/10 – Rassemblement UMP ce dimanche à Musicale plage
Le Président des Jeunes UMP 976, Moussa Mouhamadi Bavi et les délégués Jeunes UMP 976 de Bandrélé, Mariame Assani et Camille Abdullahi, invitent tous les administrateurs des Jeunes UMP 976, les membres du comité départemental UMP fédération de Mayotte, l'ensemble des militants UMP et les sympathisants à prendre part à un rassemblement qui aura lieu à musicale plage, le dimanche 7 février à partir de 9h. A l'ordre du jour, la création de la section Jeunes UMP 976 (JUMP976) du canton de Bandrélé, avec les jeunes populaires et les jeunes actifs, le bilan de la visite de Nicolas Sarkozy du 18 janvier dernier, et les inamovibles questions diverses. Le Délégué Général et porte parole des jeunes UMP, Hariti Abdullah, fait savoir que ce communiqué vaut convocation et que la présence de tous est vivement souhaitée. Contact: 0639.69.68.60 ou 0639.10.11.83.
05/02/10 – Ouverture d’une agence postale communale à Chiconi
Ce vendredi 5 février, la nouvelle agence postale communale de Chiconi ouvre pour la première fois ses portes au public. Pour fêter l'événement, un accueil café sera offert aux clients. "Ce projet est né d'une réflexion commune sur l'évolution de la présence postale sur le secteur du centre de Mayotte", rapporte le communiqué de la Poste. La Poste et la mairie de Chiconi ont donc décidé d'un commun accord d'établir une convention de partenariat pour l'implantation d'une agence postale communale. "C'est la deuxième fois à Mayotte qu'une convention de partenariat est signée avec une commune pour donner vie à une agence postale communale. Cette forme de présence postale démontre la volonté de La Poste de déployer ses services de proximité", poursuit le communiqué. L'APC de Chiconi dépendra du bureau centre de Combani. Elle permettra aux habitants de la commune mais aussi des communes avoisinantes d'accéder aux services les plus courants de La Poste. L'offre des services postaux disponibles correspond à 95% des services de base.
05/02/2010 – Ordre du jour de la séance plénière du CG du 15/02/10
Commission des finances et aides aux communes
- Rapport n°2010-198 : relatif à une autorisation budgétaire spéciale.
- Rapport n°2010-199 : relatif de l'accord de la garantie solidaire à la Sim.
- Rapport n°2010-200 : relatif au débat d'orientation budgétaire.
- Rapport n°2010-201 : relatif à la convention de restructuration financière du CG de Mayotte.
- Rapport n°2010-202 : relatif aux indemnités des membres du CES et du CCEE.
- Rapport n°2010-203 : relatif à la création de la piste de desserte agricole entre M'tzamboro et Bandrani.
Commission de l'aménagement, infrastructures et environnement
- Rapport n°2010-204 : relatif à une ouverture d'AP d'un montant de 650.412.00€ en faveur de l'association de la mosquée de vendredi d'Acoua, pour la mise aux normes de la mosquée d'Acoua.
- Rapport n°2010-205 : relatif au lancement de la procédure de révision du Padd.
- Rapport n°2010-206 : relatif à la désignation des représentants du CG à la commission de révision du Padd
- Rapport n°2010-207 : relatif à l'autorisation du président du CG à saisir le tribunal administratif pour la nomination d'un commissaire enquêteur dans le cadre de la procédure de l'enquête publique du plan d'élimination des déchets ménagers et assimilés.
- Rapport n°2010-208 : relatif à la création d'un établissement public local.
- Rapport n°2010-209 : relatif à la désignation des conseillers généraux siégeant au comité de bassin de Mayotte.
- Rapport n°2010-210 : relatif à la nomination des conseillers généraux pour siéger au sein du conseil de gestion du parc naturel marin de Mayotte.
- Rapport n°2010-211 : relatif au projet de convention en vue de la construction du futur Centre de stockage des déchets ultimes.
- Rapport n°2010-212 : relatif à la convention cadre 2010-2012 entre l'Agence régionale de l'énergie Réunion (Arer) et le CG de Mayotte.
Commission de la coopération décentralisée et de la vie institutionnelle
- Rapport n°2010-213 : relatif à la demande de mise en place de mesures transitoires visant à sécuriser et à accompagner le processus d'évolution statutaire de Mayotte en Région ultrapériphérique.
- Rapport n°2010-214 : relatif au projet de décret relatif à la continuité de l'aide juridictionnelle en cas d'examen de la question prioritaire de constitutionnalité par le Conseil d'Etat, la Cour de cassation et le Conseil constitutionnel.
- Rapport n°2010-215 : relatif au projet de décret modifiant le décret n°2004-67 du 16 janvier 2004 relatif à l'organisation du troisième cycle des études médicales.
- Rapport n°2010-216 : relatif au projet de décret portant fusion des autorités d'agrément et de contrôle de la banque et de l'assurance.
La séance est publique, gratuite et ouverte à tous les citoyens.