À Mayotte, l’hospitalisation en médecine commence à montrer des signes de saturation
À la différence de la métropole, où le nombre de cas de Covid-19 semble diminuer, Mayotte connaît une évolution inverse, avec une augmentation significative au cours de ces derniers jours. Le chef du pôle URSEC (urgences, réanimation, SAMU-SMUR, Evasan, caisson hyperbare), Christophe Caralp revient pour Flash Infos sur un éventuel déconfinement le 11 mai et annonce que le département ne sera pas en capacité de procéder à un dépistage massif. Seule solution à ses yeux : le lavage régulier des mains, le port du masque et le respect des mesures barrières.
Prévention du choléra, du VIH et addictions au programme de Mayotte en Santé
Un nouveau pas vers la recherche clinique à Mayotte
Informatisé, le service de réanimation de Mayotte entre dans une nouvelle ère
Retour à la compétition pour la ligue mahoraise de football
Essais Coviplasm : « Il ne faudrait pas que les Mahorais subissent des choses qu’ils ne...
Les essais thérapeutiques dits Coviplasm n’ont pas encore débuté à Mayotte. Pour autant, les représentants des usagers du système de santé rappellent qu’à l’heure où aucune conclusion définitive n’a été rendue concernant ces tests, il demeurera capital d’informer clairement tous les potentiels candidats.
M. Kamardine, député mahorais : « Seul un développement social permettra de lutter durablement contre le...
L’annonce d’une prolongation de l’état d’urgence sanitaire à Mayotte n’aura décidément pas convaincu le député Mansour Kamardine. Au contraire, le parlementaire voit plutôt là un écran de fumée aux effets délétères sur le plan économique et des libertés individuelles. Quand l’urgence serait, selon lui, de doter Mayotte de moyens sanitaires et d’un plan de rattrapage social. Entretien.
Le coronavirus frappe toujours à Mayotte… et davantage les zones précaires
Alors que l’épidémie a atteint le stade 3 et que tout le département est touché, l’ARS, qui suit de près l’évolution des clusters, fait face à une augmentation préoccupante des cas dans les quartiers les plus précaires, notamment dans le grand Mamoudzou.
“J’ai dû mentir sur ma fièvre pour être pris en charge”, un policier malade...
Un policier, hospitalisé depuis ce lundi au CHM après avoir contracté le Coronavirus regrette la prise en charge dont il a été l’objet jusqu’à présent. Selon son témoignage, ce père de famille aurait été conduit à mentir sur son état pour, qu’enfin, un dépistage lui soit proposé.
Le contact tracing, le travail de fourmis des enquêteurs et des médecins de l’ARS...
Au quotidien, médecins de l’équipe médicale de suivi et enquêteurs de la brigade de contact tracing de l’agence régionale de santé s’activent pour retrouver les cas contacts des habitants positifs au Covid-19. Une démarche qui demande de la patience et de la persuasion, tant la maladie n’est pas systématiquement prise au sérieux par une partie de la population.
Un plan de prévention des addictions dans le Grand Nord de Mayotte
Crise sanitaire : 5,9 millions d’euros pour la reprise économique à Mayotte
La croix et la bannière pour ramener d’Anjouan deux personnes âgées vulnérables
Les familles Ali* et Bacar* remuent ciel et terre pour faire rapatrier de l’Union des Comores leur mère et père respectifs, tous deux porteurs de pathologies graves. Mais ni la préfecture de Mayotte ni l’ambassade de France sur place ne semblent vouloir bouger le petit doigt dans l’immédiat. Or, leurs pronostics vitaux sont bel et bien engagés selon leurs enfants.
A Mayotte, Médecins du Monde facilite l’accès aux soins dans les villages isolés
Les Mahorais appelés à redoubler de vigilance face au Covid-19
ARS de Mayotte : La CFDT s’attaque à Dominique Voynet, qui rembarre toutes les allégations
Chikungunya à Mayotte : le stade d’épidémie approchant, le directeur de l’ARS encourage la vaccination
Le collectif Mayotte en SousFrance demande la levée des motifs impérieux pour tous
Les femmes mahoraises battues en plus grande insécurité pendant le confinement
Le confinement met à mal un bon nombre d’entreprises, et les associations ne sont pas en reste. À l’exemple de l’ACFAV qui vient en aide aux personnes victimes de violences, notamment de violences conjugales. Les professionnels redoutent les dégâts physiques et psychologiques que peuvent causer ces semaines de confinement.





















































