Choléra : 23 721 personnes vaccinées
Cafards à l’hôpital: le CHM répond à la polémique
La pharmacie à usage intérieur du CHM rentre dans les standards métropolitains
Bras de fer entre les salariés du laboratoire privé de Mayotte et leur direction
Cela fait maintenant une semaine qu’une large partie du personnel du laboratoire privé de Mayotte est en grève illimitée. Une situation qui ne va pas en s’améliorant puisque le dialogue avec la direction est complètement rompu. Les salariés ont l’intention de se faire entendre coûte que coûte et qu’importe le temps qu’ils passeront dans les rues.
Dénutrition, un mal qui ronge les enfants à Mayotte
Choléra : « Si on me propose le vaccin, je le prends tout de suite »
Passe sanitaire : “avec un taux de vaccination de 20%, quelle masse de clientèle va-t-on...
Avec le premier cas autochtone de chikungunya à Mayotte, des nouvelles mesures sont prises
Santé Publique France à Mayotte : “Les moins de 18 ans nous sauvent dans la...
Méconnue du grand public, Santé Publique France regroupe quatre épidémiologistes à Mayotte, dont la mission principale est l’observation de l’état de santé, la surveillance et la veille épidémiologique. Dans le cadre de la crise, l’équipe en poste tient un rôle important dans la mise en place de la plateforme d’investigation autour des cas positifs et du contact tracing. Mais elle s’emploie aussi à produire des données à destination des autorités pour orienter la décision en matière de mesures de gestion et ainsi dénicher la meilleure stratégie à aborder dans le but de lutter contre la propagation du virus. Rencontre avec Marion Subiros.
L’orthoptie fera ses premiers pas à Mayotte à la rentrée
SANTÉ : 14 millions d’euros pour Mayotte
À Tsararano, les patients reprennent le chemin de l’école
Depuis la semaine dernière, l’internat du lycée de Tsararano a rouvert ses portes. Non pas pour préparer une éventuelle rentrée scolaire le 11 mai, mais pour accueillir des patients atteints du Coronavirus qui ne peuvent s’isoler chez eux et protéger leur entourage. Pour l’heure, le centre d’hébergement compte quatre hôtes et pourrait en recevoir 80.
























































