Geneviève Dennetière, médecin à l’ARS de Mayotte : “Ne pas consulter n’est pas la bonne...
Dans l’ombre de l’épidémie de Covid-19, celle de la dengue avance à un rythme effréné depuis plusieurs mois. Mais alors, quels sont leurs symptômes respectifs ? Les personnes à risque sont-elles les mêmes ? Et surtout, quels sont les gestes à adopter et ceux à proscrire dès les premiers signes de contamination ? Médecin responsable de la cellule de veille de l’agence régionale de santé, Geneviève Dennetière répond.
Hydrothérapie : les enfants polyhandicapés refont surface
Cinq nouvelles infirmières vont rejoindre le CHM
Anjouan : les quotas dans le sens Comores-Mayotte inquiètent les voyageurs, à la veille de...
Des clips en shimaoré pour sensibiliser au Covid-19
Gestes barrières, distanciation sociale ou encore respect du confinement : plus que jamais, la sensibilisation est nécessaire pour limiter la propagation du Covid-19. Oui, mais voilà : à Mayotte plus qu’ailleurs, celle-ci demande de tenir compte des spécificités locales, et notamment linguistiques. C’est désormais chose faite grâce à Clap, une boîte de production qui a pris l’initiative de réaliser une série de spots pour bien faire passer le message.
À Mayotte, 16% des filles et 5% des garçons âgés de 10-12 ans sont...
Journée mondiale de lutte contre le Sida
À la maison de santé de Mamoudzou, “trois p’tits tours et puis s’en va”...
Après son passage au CHM, Annick Girardin a pris la route vers la maison de santé de Mamoudzou, où elle a notamment visité le laboratoire d’analyses et échangé avec quelques professionnels de santé. Le tout en un rien de temps.
Le tri et la traduction, les principaux maux des urgences de Mayotte
Tout au long de l’année, les urgences tournent à plein régime pour apporter la meilleure offre de soins aux habitants de Mayotte. Le personnel soignant doit continuellement jongler en fonction des pathologies des malades, qui peuvent entraîner quelques remous, et s’adapter aux barrières de la langue. Immersion au cœur d’un service souvent décrié, rarement encensé.
Des pizzas au goût solidaire
Si l’intrusion du covid-19 dans notre quotidien modifie radicalement nos habitudes, elle est aussi l’occasion de révéler de belles chaînes de solidarité. Et sur ce point, certaines entreprises sont à la pointe. C’est le cas de l’hôtel Caribou qui, chaque soir, offre des pizzas aux services mobilisés dans le cadre de la lutte contre le virus.
« Les femmes sont les premières victimes de cette charge mentale »
La grève au CHM démarre aujourd’hui
Les femmes mahoraises battues en plus grande insécurité pendant le confinement
Le confinement met à mal un bon nombre d’entreprises, et les associations ne sont pas en reste. À l’exemple de l’ACFAV qui vient en aide aux personnes victimes de violences, notamment de violences conjugales. Les professionnels redoutent les dégâts physiques et psychologiques que peuvent causer ces semaines de confinement.
Loi Mayotte : Les motifs impérieux s’invitent dans les débats, portés par un groupe...
Marche de l’espoir : une foule toute rose dans les rues de Mamoudzou
Opération Wuambushu : Des professionnels de santé font part de leurs inquiétudes dans une tribune
Pour Ahmed, “la pauvreté à Mayotte n’existe pas quand on ne la voit pas”
À Mayotte depuis 2016, Ahmed et sa femme n’ont pas attendu la propagation du Coronavirus pour distribuer des kits alimentaires aux populations les plus défavorisées. Depuis plus de trois ans, le couple alloue 200 euros par mois pour venir en aide à quatre familles situées dans le quartier de La Vigie, en Petite-Terre. À ses yeux, le véritable secret d’un élan de solidarité efficace est un canal direct entre les donateurs et les receveurs.
Santé mentale : des disparités chez les jeunes ultramarins
Le covid-19 n’arrange pas les affaires de l’offre médico-sociale à Mayotte
Si le confinement a pu être une partie de plaisir pour certains habitants, ce n’a pas été le cas pour les personnes en situation de handicap et les personnes âgées. Un public dépendant et fragile pris en charge par le secteur médico-social. Une réorganisation de l’offre a été indispensable pour limiter la casse sur un territoire, où le nombre de structures ne répond toujours pas à la demande croissante.





















































