Cafards à l’hôpital: le CHM répond à la polémique
“Le vaccin est préventif, la molécule est curative”
Docteur en chimie spécialisée dans les molécules bioactives et l’ingénierie des biomolécules, Fahoullia Mohamadi revient pour Flash Infos sur l’importance de la recherche et du développement pour faire face à la crise du Coronavirus. Elle apporte également son expertise scientifique sur la vaccination et l’approche moléculaire, et évoque l’apport de sa profession pour un territoire comme Mayotte.
Le syndrome insulaire, « on est tous un peu atteints à un moment »
Variant Omicron : front commun pour éviter une catastrophe sanitaire
Octobre rose : « De patientes touchées par le tabou du cancer et celui de la...
Mieux vieillir à Mayotte c’est possible avec le programme ICOPE
À Bandrélé, “il y a énormément d’habitants inconscients”
Lundi, la directrice générale de l’agence régionale de santé, Dominique Voynet, a dévoilé que Bandrélé faisait partie des trois zones géographiques dans lesquelles on recensait le plus grand nombre de cas. Une réunion s’est tenue hier matin, à la demande du maire de la commune, avec les autorités compétentes pour faire un point sur cette évolution. Si rien de nouveau n’en est ressorti, une habitante propose des mesures drastiques pour enrayer la propagation.
Le rattrapage vaccinal en milieu scolaire, « une vraie opération majeure »
Chikungunya : face à l’intensification du nombre de cas autochtones, le niveau 2B du plan...
Comores : la gestion des fonds pour le Covid épinglée par la Cour des comptes
AVC : « Beaucoup de Mahorais ne prennent pas toujours leur traitement »
À Mayotte, 1% des enfants sont victimes de troubles du spectre de l’alcoolisation fœtale
Crise des urgences : L’ Agence régionale de santé tente de réagir
À Tsararano, les patients reprennent le chemin de l’école
Depuis la semaine dernière, l’internat du lycée de Tsararano a rouvert ses portes. Non pas pour préparer une éventuelle rentrée scolaire le 11 mai, mais pour accueillir des patients atteints du Coronavirus qui ne peuvent s’isoler chez eux et protéger leur entourage. Pour l’heure, le centre d’hébergement compte quatre hôtes et pourrait en recevoir 80.






















































