Les 12 travaux de SFR : 4G, bancarisation…
Fahardine Mohamed appelle à l’unité pour relever l’économie mahoraise
Zone des Badamiers : « On doit essayer de travailler avec les possibilités existantes »
« L’économie circulaire est une solution adaptée pour réduire nos impacts sur la Terre »
Refondation de Mayotte post-Chido : pour se positionner efficacement sur les marchés de la Refondation
Comores : de nombreux kofias contrefaits saisis par les douanes
Surendettement : « On a besoin de faire connaître le dispositif »
Économie bleue à Mayotte : une stratégie et des ambitions à concrétiser pour éviter le...
Tourisme à Mayotte : “On ne peut pas tout attendre de l’extérieur”
Déjà en temps normal, l’île aux parfums n’attire pas les touristes. Mais à l’heure où le gouvernement affiche une volonté de relancer rapidement le secteur dans les Outre-mer, quelles perspectives se dessinent pour Mayotte ? Pour le groupement des entreprises mahoraises spécialisées en la matière, les Mahorais devront être les premiers consommateurs du tourisme, à condition qu’il soit local.
Mayotte veut aller vers la souveraineté alimentaire
« On a du riz destiné à Mayotte bloqué à La Réunion depuis plus d’un...
Job-dating : « Je crois avoir trouvé la pépite ! »
« Initiative Mayotte » prête à étendre son champ d’intervention
Augmentation d’environ 10% du tarif des courses
Un arrêté préfectoral datant de mardi modifie à partir de ce mercredi les tarifs réglementés des taxis de ville et de brousse. Ainsi, désormais, le montant maximal du taxi-ville sera fixé à 1,60 euro la course et l'ensemble des tarifs pratiqués sera augmenté d'environ 10%. Ceci étant, les artisans taxis restent libres de pratiquer des prix plus bas.
Le MEDEF Mayotte alerte sur une situation économique au bord de la rupture
Le volontaire du RSMA, un profil « employable immédiatement » pour Pôle Emploi
Port de Mayotte : L’Etat ne se mouille pas
En réponse à un référé de la Cour des Comptes préconisant de changer le statut du port de Longoni afin que l'Etat intègre sa gouvernance, la ministre chargée des Transports, Elisabeth Borne, a étayé les raisons pour lesquelles cette transformation demeure complexe. Explications.





















































