Comores : Baisse de salaires controversée à la télévision nationale
Fin de crise entre la Smart et le CD
Alors qu'ils campaient depuis 10 jours au sein du conseil départemental pour manifester leur inquiétude pour l'avenir de leur entreprise (voir Mayotte Hebdo de la semaine dernière), un protocole de sortie de crise a été signé hier entre le président du conseil départemental (le déléguant de la gestion du port), la direction de la Smart, les représentants des salariés de la Smart, les syndicats UDFO, CGT MA et UICFDT , et les Femmes Leader. Mais l'avenir de la Smart est toujours en suspens.
Assurances à Mayotte : un dossier sous surveillance préfectorale
Avec Oudjerebou, les quartiers mahorais entreprennent !
« Nous avons besoin que toutes les conditions soient réunies pour une reprise à Mayotte »
Pour les transitaires, « le pire est à venir »
Emploi : Les recruteurs s’unissent pour redorer le blason de Mayotte
Les perspectives du projet gazier mozambicain présentées à Yaël Braun-Pivet
Pour Ylang assurance, « le sud est l’avenir de cette île ! »
Une semaine pour relancer l’attractivité du secteur touristique
Augmentation d’environ 10% du tarif des courses
Un arrêté préfectoral datant de mardi modifie à partir de ce mercredi les tarifs réglementés des taxis de ville et de brousse. Ainsi, désormais, le montant maximal du taxi-ville sera fixé à 1,60 euro la course et l'ensemble des tarifs pratiqués sera augmenté d'environ 10%. Ceci étant, les artisans taxis restent libres de pratiquer des prix plus bas.
La Cour des comptes valide le budget du Sieam
A Petite-Terre, le chemin de croix pour obtenir du gaz
« Même après la crise, il faudra du temps pour se relever »
“ Il y a 4.000 artisans à déployer pour reconstruire Mayotte”
Comores : de nombreux kofias contrefaits saisis par les douanes
Approvisionnements : les effets “boule de neige” du confinement pour les entreprises mahoraises
À Mayotte, très dépendante de l’extérieur pour se réapprovisionner, les entreprises subissent toujours les conséquences du confinement. Outre la distribution alimentaire, des fournisseurs de produits de construction ou ménagers, comme Ballou ou Disma, peinent à assurer leurs stocks.





















































