Mères et enfants contre le cancer du sein
Les internes du centre hospitalier de nouveau en grève
La pharmacie des Badamiers officiellement fermée depuis le vendredi 15 juillet
Bouffée d’oxygène pour le centre hospitalier de Mayotte
Campagne de vaccination à Mayotte : 2ème injection avec le docteur Martial Henry
Visite d’une délégation du syndicat Sud Santé Sociaux : « Mayotte est dans un état d’urgence...
Dominique Voynet quitte l’agence régionale de santé de Mayotte : vers la retraite et au-delà !
Au gymnase de Cavani, 20% des 250 tests quotidiens sont positifs
La vitesse de croisière des évacuations sanitaires de Mayotte divisée par quatre
En 2018, le service des évacuations sanitaires a effectué 1.006 transports en direction de La Réunion. Sollicité par n’importe quelle unité de l’établissement public ou par des médecins libéraux, il organise les transferts des patients qui ne peuvent être pris en charge sur le territoire. Entre la propagation du virus, la fermeture des liaisons aériennes et la suspension d’une grande partie des consultations dans son ensemble, l’équipe en poste s’adapte au mieux pour répondre aux urgences vitales. Éléments de réponse avec Ludovic Iché, le responsable du service Evasan.
La POPAM combat les addictions, « vrai enjeu » mahorais
Handicap : « On n’est pas comme des meubles »
Circoncision 2/3
On entend un peu tout sur la circoncision, affolant parfois certains et heurtant d'autres cultures. Les anciens sont pour, les nouvelles générations aussi, mais à condition que la pratique soit fiable et exercée par un professionnel de la santé, loin de ce qui se faisait jadis. D'autres plus réticents s'interrogent : Est-ce dangereux ? Pourquoi le jeune garçon doit être circoncis ? Comment se déroule l'acte ? Et de l'autre côté, qu'en est-il des événements religieux et culturels en lien ? Mais en fait, tout simplement, la circoncision, quésaco ? Quelle place tient-elle dans notre société mahoraise ? Autant de questions qui subsistent. Réponses dans notre série de la semaine.
Mayotte : un soutien médical “à inscrire dans le temps”
“Pourvu que ça dure”. C’est un peu l’impression que laisse à Mayotte la visite-surprise d’Annick Girardin, la ministre des Outre-mer. Car si le soutien du gouvernement s’est, pour de nombreux acteurs, trop longtemps fait attendre sur le territoire, une réponse semble s’amorcer, au moins sur le volet médical. Mais la méfiance règne quant aux “effets de communication”.
Le tri et la traduction, les principaux maux des urgences de Mayotte
Tout au long de l’année, les urgences tournent à plein régime pour apporter la meilleure offre de soins aux habitants de Mayotte. Le personnel soignant doit continuellement jongler en fonction des pathologies des malades, qui peuvent entraîner quelques remous, et s’adapter aux barrières de la langue. Immersion au cœur d’un service souvent décrié, rarement encensé.
« On est en train de créer une bombe virale » au RMSA de Mayotte
Ce week-end, une centaine de personnes atterrissaient à Mayotte depuis Madagascar, rapatriées in extremis en vue d’être confinées, ensemble, au RSMA pendant quatorze jours. Parmi elles, un médecin coincé dans la caserne tire la sonnette d’alarme quant au risque d’une contamination générale au sein du bâtiment, où aucun geste barrière ne peut être respecté. Le risque est tel que ces confinés promettent de porter plainte contre la préfecture.




















































