Jeudi matin vers 7h30, les femmes de ménage sentent de la fumée sortir du local technique au rez-de chaussée du bâtiment principal du tribunal. Les pompiers interviennent et défoncent la porte car la clef restait indisponible. Ils circonscrivent rapidement le départ de feu.
Il s’agissait de fourniture de bureau posée sur un onduleur.
Le tribunal a pu ouvrir ses portes malgré la réticence des salariés face aux émanations de plastique brûlé et l’absence de courant.
Le président du tribunal de grande instance, Laurent Sabatier a déclaré que ce n’était « pas plus polluant qu’un brochettis qui tourne mal » et que les services incendies ont fait savoir qu’il n’y avait aucune contre-indication à l’entrée dans les locaux, ce qui n’a pas contenté certains agents qui espéraient une demi-journée de repos en plus.
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