Le 8 avril dernier, une victime se présentait au commissariat pour déposer plainte pour des violences commises sur sa personne avec des branchages. Rapidement identifié et localisé, le mis en cause était interpellé cinq jours plus tard et conduit devant les enquêteurs de la police judiciaire.
Placé en garde à vue et entendu sur les faits, il reconnaissait l’agression et expliquait que la victime se serait mêlée d’une dispute entre sa conjointe et lui-même. Il allait même jusqu’à justifier les coups portés. Connu des services de police et déjà placé sous contrôle judiciaire pour une autre affaire, il était déféré le 14 avril. Avec de tels arguments si peu convaincants et un passé judiciaire déjà bien marqué, il a été reconnu coupable des violences et condamné à 12 mois de prison ferme.