Cet ami employé de banque qui ne vous veut pas que du bien
Décasage : condamnation confirmée en appel contre la délogeuse de Boueni
Tribunal correctionnel : « utilisez votre cerveau pour réfléchir »
La précarité pénalise d’autant plus les femmes à Mayotte
La mairie de Mamoudzou au tribunal ce mercredi
Son tatouage et le manque de preuves entraînent sa libération
“Un tiers des peines prononcées sont des peines de prison”
Ewa : 60 000 € de pertes à cause d’une partie de jambes en l’air
L'ex-comptable de la compagnie aérienne Ewa Air comparaissait hier devant le tribunal correctionnel de Mamoudzou pour des faits présumés d'escroquerie, abus de confiance, vols et usage de faux en écriture commis en 2016.
De nouveaux marchands de sommeil condamnés, ce mercredi
Assises de Mayotte : « Asroimi » tente de réduire sa peine en appel pour des vols...
Affaire Roukia : Mathias Belmer enfin à la barre
La directrice du cabinet du président malgache interpellée pour corruption
Diffamation : le président du syndicat de pompiers SNSPP-PATS de Mayotte devant le tribunal
Avec le CPCA la lutte contre les violences conjugales progresse à Mayotte
Comores : le procès de l’ex-président Sambi débutera le 21 novembre
Rachadi Saindou et Salime M’déré perdent leurs mandats sur décision de justice
Agression de gendarmes à Longoni : « on a atteint un tel niveau de bêtises »
Retrait des titres de séjours pour parents de “délinquants” : ce que dit la...
Après avoir renoncé au “politiquement correct” sur les antennes de Mayotte la 1ère, le 31 août dernier, en imputant directement la délinquance de ces dernières semaines à l’interruption des éloignements du fait de la crise sanitaire, le préfet a annoncé vouloir suspendre ou supprimer les titres de séjour pour les parents qui ne respectent pas le “contrat social”.
Un homme condamné pour avoir tabassé son petit frère
Un an ferme pour le marchand de sommeil de Pamandzi
L'homme d'une cinquantaine d'années qui, résidant à Pamandzi, était accusé d'aide au séjour d'étrangers en situation irrégulière et d'hébergement dans des conditions contraires à la dignité humaine a été reconnu coupable mercredi par le tribunal correctionnel et condamné à un an de prison ferme et 30.000 euros d'amende.