Cordées de la réussite : permettre aux élèves mahorais de dépasser leurs limites
La Première Guerre mondiale vue par des collégiens
« Les élèves sont notre première source de motivation pour rester »
« Le bac à Mayotte n’a pas été bradé »
Le suspens n’est plus de mise. Tous les bacheliers connaissent les résultats qui concluent une année de bac si particulière. Cette année, le taux de réussite est en hausse chez nous. La bienveillance recommandée par l’Éducation nationale a porté ses fruits.
De jeunes artistes engagés pour la protection du lagon
Avec les décasages, des parcours scolaires chamboulés à Mayotte
Premier tournoi académique du jeu de dames à Dembéni
Tribune libre : « Encore une rentrée pas comme les autres ! »
Le taux de réussite au brevet à Mayotte se rapproche des 70%
Grève au collège de Dembéni : les parents d’élèves dans une impasse
« Ça peut faire peur, mais vous pouvez croire en vous »
Gilles Halbout : « Nous nous attendons à vivre un mois compliqué à Mayotte »
Les travaux lancés à l’internat du lycée de Coconi
Bac : Le contrôle continu salué par tous à Mayotte
Vendredi dernier, le ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse annonçait l’annulation des épreuves du baccalauréat et autres examens de cette année. Le contrôle continu est la seule option retenue pour tout le monde. Une décision qui satisfait les parents d’élèves, les professeurs et les principaux concernés.
Opération Wuambushu : Les enseignants se mobilisent pour leurs élèves
Le maire de Koungou stoppe les inscriptions en maternelle
Devant le nombre de plus en plus importants d’élèves à scolariser, le maire de Koungou a décidé de clôturer les inscriptions en maternelle “car il n’y a pas assez de classes”. Explications.
« L’école à Mayotte – Approches plurielles » : neuf auteurs interrogent les spécificités de l’école...
La grève au collège Ali Halidi de Chiconi suspendue
Une rénovation s’impose au sein de l’enseignement supérieur à Mayotte
Pendant la crise sanitaire, le Centre universitaire de formation et de recherche de Mayotte s’est heurté aux situations précaires dans lesquelles se trouve un grand nombre des étudiants mahorais. Sans ordinateur ni d’accès à internet, il est difficile d’assurer une continuité pédagogique. Ce constat mène le directeur du centre, Aurélien Siri, à repenser tout le système de formation.