« Je suis prêt à tuer, alors aidez-moi à sortir »
« On n’a pas l’impression que le respect de la loi soit votre fort »
Lycée des métiers : la copie est à revoir selon la justice
« Monsieur est un Don Juan distributeur de téléphones »
Des peines de six à huit ans de prison pour des viols à Hauts-Vallons
Travail dissimulé : « Bah, c’est ça ou ils crèvent de faim »
Installation officielle du conseil des prud’hommes ce vendredi
Braquage avorté à Chirongui : « Vous êtes vraiment quelqu’un de très, très gentil »
117 personnes dans un logement indigne à Mayotte : le propriétaire de la “maison des...
La bâtisse rose et délabrée s’élève à côté des locaux de Solidarité Mayotte. Depuis des années, des centaines de demandeurs d’asile originaire de l’Afrique des Grands Lacs y ont trouvé refuge, dans l’attente d’une réponse positive de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) sur leur statut. Or, ce mercredi au tribunal correctionnel de Mamoudzou, c’est le propriétaire des lieux qui était appelé à la barre. Ce qu’on lui reproche ? Avoir soumis des personnes vulnérables à des conditions d’hébergement incompatibles avec la dignité humaine, et aidé au séjour de personnes en situation irrégulière sur le territoire. Des faits passibles respectivement de 5 ans d’emprisonnement et 150.000 euros d’amende et 3 ans de prison et 50.000 euros d’amende. “Les personnes mentionnées sont vulnérables, certaines fuient la guerre. Et c’est d’ailleurs pour ça qu’elles acceptent ces conditions”, insiste la substitute du procureur.
Le restaurant Chez Cousin va pouvoir rouvrir
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Lutte contre l’immigration clandestine à Mayotte : un naufrage coûte cinq ans à un passeur
Bateaux de pêche : une impossible mise aux normes ?
Mercredi matin, le directeur de la Copemay et trois pêcheurs comparaissaient devant le tribunal correctionnel pour une affaire de vente et d'achat de produits provenant de la pêche illégale. Mais l'Europe s'est invitée dans le prétoire, pour un débat confus autour de la réglementation européenne, du droit à l'erreur et du manque de subventions accordées aux pêcheurs permettant de remettre leurs bateaux en conformité.
Un père et son fils condamnés pour des vols de moteurs de bateaux
Le Pôle social du Tribunal judiciaire : un pas vers la normalisation du droit à...
Les nouveaux assesseurs du Pôle social ont prêté serment au Tribunal judiciaire de Mamoudzou. Cette audience a marqué les débuts d’une jeune juridiction à Mayotte, compétente en matière de contentieux de la protection sociale.