"Chaque musicien en herbe peut également amener son ou ses instruments afin de faire raisonner les notes sous l'ombrage du manguier", invitent les Naturalistes.
Participation au voulé : 10€ – Rens. 0269 63 04 81 ou contact@naturmay.org
"Chaque musicien en herbe peut également amener son ou ses instruments afin de faire raisonner les notes sous l'ombrage du manguier", invitent les Naturalistes.
Participation au voulé : 10€ – Rens. 0269 63 04 81 ou contact@naturmay.org
"La grande différence sur le montant moyen de 300 € par mois contre 600 € en Métropole tient pour une grande partie au plafond de cotisations qui est de 912 € à Mayotte alors qu'il est de 2.859 € en Métropole", a analysé Michel Taillefer, le président de l'atelier. Le régime de retraite de base des salariés, qui n'a été créé à Mayotte qu'en mars 1987, est en effet encore très loin des plafonds et des taux métropolitains et l'alignement progressif sur le droit commun risque de prendre encore plusieurs années, que l'atelier n'est pas parvenu à chiffrer précisément. L'une des différences principales porte sur le niveau de la retraite de base à Mayotte (456 € maximum par mois) qui est nettement inférieur au niveau qui est assuré en Métropole (1.429 €). En outre, le plafond n'a pas été augmenté depuis 2004.
"Plus on voudra augmenter les retraites des bacocos, plus il faudra demander que les jeunes cotisent", a résumé le préfet Denis Robin. "Le risque est que certains gros employeurs, dans la grande distribution par exemple, embauchent moins de salariés, avec des charges plus importantes. Si on va trop vite, on risque de toucher au niveau de vie des familles", a-t-il prévenu. Même si ces débats très techniques ont été difficilement compréhensibles pour les personnes présentes, et ce malgré les traductions en shimaoré, force est de constater l'engouement de la population pour ce type de démocratie participative, au vu de la pertinence des questions et des interventions, et de l'enthousiasme suscité par cette première réunion publique des Egom.
{xtypo_dropcap}L{xtypo_dropcap}e gymnase de Cavani affiche complet. De nombreux sièges ont dû être installés en plus des places habituelles prévues dans les estrades. Des murmures se font entendre parmi la foule venue assister à la représentation. Un décor très élaboré caractérisant la savane africaine s'offre à leurs yeux. Tout y est représenté : les arbres, les animaux avec un grand éléphant, une girafe…, le soleil et même la voûte céleste remplie d'étoiles scintillantes.
Dans les coulisses tout le monde s'active, s'échauffe, se prépare, se maquille. Matuta, l'une des danseuses, avoue avoir un peu le trac : "J'ai un peu mal au ventre… Je crois qu'il y a 400 personnes quand même". "Non, 600 !", rectifie son amie Berrine qui réalise son cinquième spectacle. "Moi je n'ai pas peur", ajoute cette dernière, "c'est juste qu'il y a trop de gens qu'on connaît". La plupart des personnes du public sont en effet des amis ou la famille des danseurs apportant leur soutien moral par des signes fréquents de la main.
La comédie musicale débute avec une chorale entonnant la chanson phare du dessin animé Aladin "Ce rêve bleu". Cet air est également l'origine du titre de la comédie musicale. Vient le tour d'un jeu de mime dont le but est d'illustrer le début de l'histoire fantastique d'une petite fille et sa famille aspirées dans la télévision.
Différents groupes de danseuses âgées de 4 à 12 ans arrivent alors pour une démonstration hautement colorée à l'aide de pompons et de tutus fluo. La partie théâtrale du spectacle se révèle être une représentation originale du Roi Lion de Walt Disney. Les apprentis comédiens y interprètent les différents rôles principaux du dessin animé en ponctuant leurs gestes de pas de danse.
La performance des enfants est à saluer
Après la première partie principalement centrée sur le jazz, place au rap, à la danse orientale et au hip hop. Le rythme est plus dynamique et entraînant. Les danseuses et danseurs sont plus âgés mais n'ont pas forcément plus d'assurance. "J'ai eu un peu de trac parce que je passais en dernière avec mon groupe et ça fait peur de voir les autres défiler et passer avant", explique Malika, une danseuse du groupe de hip hop âgée de 15 ans. Il lui a fallu attendre presque trois heures pour voir son tour arriver, suivi de près par la fin du spectacle et les remerciements. Une ovation était spécialement réservée à la scénariste, metteur en scène et chorégraphe de la comédie musicale : Maryse Willaume.
Samedi soir, c'est l'heure du bilan. Tous les billets ont été vendus. Néanmoins, la première soirée a totalisé près de 700 spectateurs et plus de 500 pour la seconde. Un succès nuancé par les démonstrations artistiques elles-mêmes, comme le précise Maryse Willaume. "Aujourd'hui c'était parfait. Tout s'est enchaîné normalement. Hier on a raté le tableau final du Roi Lion, aujourd'hui on l'a réussi. Il y a même eu de l'improvisation, les enfants ont osé en rajouter."
Une légère différence de qualité due selon elle à un manque de répétitions et une certaine découverte de la scène par les danseurs, mais également les techniciens et leurs matériels. "En tout cas, je souhaite saluer la performance des enfants !", un point essentiel pour Maryse Willaume qui précise que Lov'dance est un atelier pour les enfants et par les enfants. Une conclusion tout à fait appropriée pour ces deux jours en l'honneur du talent artistique.
Rawnat Mohamed Chaher
{xtypo_dropcap}O{/xtypo_dropcap}rganisée par Nafassi ("liberté" en shimaoré), la soirée de samedi au 5/5 est une grande première pour cette association créée en juillet 2008 à l'initiative des Maoris et des anciens musiciens de Daddy Happy devenus les Labsync. Ils se produiront pour la première fois à cette occasion. Ces deux groupes partagent un local de répétition situé dans une courée de la rue du Commerce, qui jouxte le studio d'enregistrement de Deenice, le désormais célèbre ingé son de l'île également président de l'association.
Ce quadruple concert vise à "se faire connaître car beaucoup de gens associent le local de répét' à mon entreprise", explique Deenice. "Nous avons choisi ce nom par rapport à notre autonomie dans la musique. Le local permet aux artistes de travailler leur musique et d'organiser des événements sans dépendre de personne, tout en l'ouvrant aux autres pour, à notre niveau, dynamiser la musique à Mayotte".
"Il faut des locaux pour les artistes, il y a un vrai déficit"
"Notre local est la seule salle de répét' sur Mamoudzou depuis la fermeture du "container" du service culturel en septembre 2008", déplore Tom, le vice-président de Nafassi et batteur de LTO et de Labsync. Cette remorque de camion, située sur le parking du cinéma, a été fermée car ce n'était pas un lieu approprié. Mais aucun autre local n'est venu le remplacer… "Nous sommes comme un phare dans la nuit", explique Jéjé, le trésorier de l'association et guitariste de Labsync, "comme c'est le seul local de répét', il y a eu beaucoup de passage car tous les groupes de l'île sont en carence".
Lima Wild, Babadi, Combo, Wubani Spirit, Family Skank, Joe Fils, Le Bacar, LTO et bien d'autres ont ainsi eu recours à ce lieu qui est le seul à être aménagé avec une batterie, des micros, des retours, une table de mixage et la clim'.
"Il y a même un groupe d'adolescents de 15 ans qui est venu, les Make a Cake", se souvient Jéjé, qui rappelle que U-Roy et Pablo Moses se sont aussi rendus dans ce lieu de brassage et de vie musicale devenu incontournable, pour répéter avant leur concert en avril dernier. "Notre vocation n'est pas de faire du local de répét' pour les autres. La Dilce doit donner accès à la culture, assurer sa mission", s'insurge Jéjé.
"Les musiciens doivent pouvoir travailler leur musique pour proposer des sets de qualité", renchérit Deenice, "il faut des locaux pour les artistes, il y a un vrai déficit". Pour l'instant, 4 groupes se partagent le local de manière régulière et les créneaux ne sont pas démultipliables…
Un projet de coopération avec Anjouan
Grâce aux recettes des concerts, "l'association va pouvoir développer le confort et le matériel, avec des nouveaux micros ou des equalizers et améliorer l'insonorisation de la pièce", précise Tom. Nafassi souhaite également établir un partenariat avec le studio d'enregistrement Créagénie de Domoni, à Anjouan, avec des échanges artistiques, de la formation en ingénierie son et des conseils pour l'achat de matériel. "Nous voulons les aider à être autonomes en matos pour la production", souligne Deenice. Des journées culturelles autour de la musique pourraient également voir le jour sur l'île étoile grâce au fonds de coopération régionale dont la commission d'attribution se réunira à la rentrée.
Alors, venez nombreux pour soutenir leur première action d'envergure, en attendant un festival de 2 jours qui devrait avoir lieu dans le courant de l'année prochaine.
Julien Perrot
Concert ce samedi 13 juin au 5/5, à partir de 21h. Entrée : 5 €. Restauration et boissons sur place.
– Maoris : Créé il y a 3 ans, ce groupe de reggae métissé est dans sa formation actuelle depuis un an. Ils viennent d'opérer leur grand retour lors du concert pour les Enfants de la Lune au Relais de Bandrélé le mois dernier.
– Le Bacar : Après 7 ans d'existence, à 4 musiciens depuis 2 ans, ce groupe mêlant chanson française, rock, dub et punk prépare un deuxième album et une tournée à la Réunion où ils ont été invités par le groupe Zong, figure incontournable de la scène électro réunionnaise.
http:/www.myspace.com/bacaracoustikband
– LTO : Créé il y a 3 ans, Les Tôles Ondulées, à la base un groupe de reprises de morceaux rock, s'est mis à la compo depuis un an avec l'arrivée d'un nouveau batteur et d'un guitariste solo. Ce sera leur premier concert depuis un an, avec 6 morceaux inédits.
– Labsync : Ce tout nouveau groupe issu des anciens musiciens de Daddy Happy a été créé il y a à peine 6 mois. Sans chanteur, il mêle de nombreuses influences avec une approche jazz fusion et des samples électroniques.
Par ailleurs, le Ballet de Mayotte organise un spectacle le vendredi 19 juin au gymnase de Kavani avec Yaya Sarria et Julie Larisoa (Compagnie Ajorombala, Madagascar). L’entrée est fixée à 10 € pour les adultes, 5 € pour les enfants de moins de 12 ans et les étudiants. Pour réserver vos places ou plus de renseignements, contacter Isabelle Camatte.
Originaire de Labattoir, Baco Abdallah, membre fondateur et président de La pirogue organise des expositions et des spectacles mahorais. Son but est de faire connaître la culture de l'île aux parfums, ses danses, musiques et traditions pour permettre une meilleure intégration de la communauté mahoraise charentaise.
"Cette année, pour la 34ème édition du festival, le maire de la ville d'Angoulême, M. Philippe Lavaud et la présidente de la région Poitou-Charente Mme Ségolène Royale ont honoré notre association par leur visite dans notre stand", se félicite Baco Abdallah.
M. Christian Mousset, directeur artistique et responsable de la programmation a fait savoir à M. Baco qu'il programmera des artistes de Mayotte dans le prochain festival.
L'une des pièces de cette exposition représente le chanteur mahorais Langa et son ami Bokelo. Tirée d'une série de tableaux intitulée "Portraits de Mayotte", elle mesure 2 mètres de large pour 1,50 mètre de haut. Les deux acolytes y sont dépeints de façon naturelle, sans artifice ni mise en scène extravagante. On aperçoit même au pied du chanteur aveugle son éternelle brique de vin.
Pour assister au vernissage, rendez-vous le dimanche 21 juin à 19 heures à la galerie de Jumbo Score. Langa sera également présent ce jour là pour offrir aux visiteurs de l’exposition un concert en l’honneur de la Fête de la musique.
Pour le président Douchina, visiblement plus déçu que surpris, il ne peut s'agir que d'une "coquille", et l'homme veut croire que "le pacte est un texte fort que le gouvernement respectera". Beaucoup plus virulent, Ibrahim Aboubacar, conseiller général de Sada, a pris la parole pour dire sa déception : "Lors de notre dernier voyage à Paris, on aurait pu nous montrer cela, car connaissant les méthodes rédactionnelles des ministères, ce texte était probablement déjà prêt", avant de dénoncer des "tripatouillages politiques de quelques élus qui ont brisé en catimini le consensus dégagé par le comité de suivi et le président Douchina". Toutefois, M. Aboubacar a tenu à rassurer ses collègues en évoquant la possibilité de réformer le mode de scrutin antérieurement, sur la base d'une loi ordinaire, indiquant que la loi organique avait surtout vocation à entériner le passage de l'article 74 de la Constitution vers l'article 73. L'ancien président du CG, Said Omar Oïli, a également pointé la désunion des rangs politiques mahorais lors du dernier voyage à Paris comme étant responsable de cette volte-face : "M. le Président, je vous avais prévenu lors de la dernière session de prendre garde à parler d'une seule et même voix", a-t-il lancé.
Une explication que semblent partager nombre d'élus de la maison décentralisée. Selon certains, c'est la guerre fratricide qui divise l'UMP local (entre le clan Douchina et les pro Kamardine) qui aurait conduit à cette situation. "Une aubaine pour le gouvernement, passé maître dans l'art de diviser pour mieux régner", nous dit cette source proche du dossier, qui dévoile que l'ancien député de Mayotte aurait bénéficié d'une oreille attentive dans les salons de l'Élysée, alors que le président du conseil général défendait sa position par les voies les plus protocolaires.
"Le point positif de cette grève est que l'on va désormais, nous l'espérons, être associés aux chois stratégiques et organisationnels de l'hôpital. Nous sommes globalement satisfaits, la mobilisation a été importante et les titulaires ont fait preuve de beaucoup de solidarité pour se mobiliser aux côtés des contractuels" explique Rémy Blanchet. Une satisfaction d'autant plus grande que le protocole d'accord souligne une promesse de rallonge budgétaire de l'ARH de 4,5 millions d'euros pour recruter 50 personnes par mutation pour améliorer l'offre de soins et faire face au fort turn-over du personnel médical au CHM.
Le 9ème Fed finance également, dans le cadre de cette étude, l'acquisition auprès de l'Institut géographique national (IGN) de la photographie aérienne de Mayotte, orthorectifiée et géoréférencée, ainsi que du Modèle numérique de sursol de l'île. A l'occasion du passage de François Brun, directeur général adjoint de l'IGN, la signature du contrat d'acquisition de ces produits aura lieu jeudi 11 juin à la Daf. "L'ensemble de ces outils constituera une aide fondamentale à la décision pour les années à venir, en matière de suivi et de gestion de l'environnement", précise la direction des affaires européennes.
Ces réunions, qui sont ouvertes à tous, seront animées conjointement par le préfet et le président de l'atelier concerné. Dialogue social mairie de Dzaoudzi Labattoir lundi 8 juin à 17h ; Formation initiale Collège de Dembeni mardi 9 juin à 17h15 ; Formation des prix Koungou jeudi 11 juin à 17h ; Productions locales Lycée de Coconi samedi 13 juin à 9h ; Identité, culture, mémoire à Tsingoni samedi 13 juin à 15h ; Foncier Chirongui dimanche 14 juin 9h30 ; Développement économique à M'tsamboro samedi 20 juin à 9h ; Environnement régional à Sada dimanche 21 juin à 9h30. Le lieu de réunion, non précisé pour certaines communes sera précisé ultérieurement.
N° Panneau
|
Liste |
Tête de Liste |
1 |
Pour une Europe Utile |
M. MUGERIN Daniel |
2 |
Alliance Ecologiste Indépendante |
Mme DALMASSO Amandine |
3 |
Protéger nos emplois, défendre nos valeurs avec la liste de Villiers soutenue par le MPF, CPNT, et Libertas |
Mme KUTTNER-PERREAU Erika |
4 |
Alliance des Outre-Mers |
M. HOARAU Elie |
5 |
Liste Europe Ecologie avec Daniel Cohn-Bendit, Eva Joly et José Bové |
M. DURIMEL Harry |
6 |
Europe Démocratie Espéranto |
M. ETIENNE Jacques |
7 |
« Une France Royale au cœur de l’Europe » |
M. ANDRIANTSALAMA Grégoire |
8 |
« Changer l’Europe maintenant, avec les socialistes » |
Mme BAREIGTS Ericka |
9 |
« Europe et Démocratie –Rassemblement pour l’initiative citoyenne (RIC) » Circonscription Outre-Mer |
Mme MARCINIAK Annie |
10 |
« Quand l’Europe veut, l’Europe peut » – Majorité présidentielle – UMP – Nouveau Centre – la Gauche Moderne conduite par Marie-Luce Penchard |
Mme PENCHARD Marie-Luce |
11 |
Outre-Mer solidaire Liste soutenue par François Bayrou |
M. PONIN-BALLOM Gino |
Collectivité Départementale de Mayotte |
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ELECTION DES REPRESENTANTS AU PARLEMENT EUROPEEN |
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Résultats "sortis des urnes" avant vérification par la commission de contrôle |
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Résultats obtenus par liste (cf nom de liste correspondant au tableau précédent) |
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Communes |
Inscrits* |
Votants |
Tx Particip. |
Bl. ou nuls |
Exprimés |
1 |
2 |
3 |
4 |
5 |
6 |
7 |
8 |
9 |
10 |
11 |
ACOUA |
3131 |
1022 |
32,64% |
44 |
978 |
0 |
0 |
33 |
326 |
45 |
0 |
0 |
106 |
0 |
267 |
201 |
BANDRABOUA |
3527 |
1037 |
29,40% |
21 |
1016 |
0 |
0 |
17 |
106 |
34 |
0 |
0 |
476 |
0 |
235 |
148 |
BANDRÉLÉ |
3246 |
1327 |
40,88% |
76 |
1251 |
0 |
0 |
29 |
106 |
61 |
0 |
0 |
85 |
0 |
773 |
197 |
BOUÉNI |
3549 |
1333 |
37,56% |
48 |
1285 |
0 |
0 |
38 |
181 |
248 |
0 |
0 |
88 |
0 |
622 |
108 |
CHICONI |
4448 |
1670 |
37,54% |
108 |
1562 |
0 |
0 |
68 |
403 |
79 |
0 |
0 |
152 |
0 |
637 |
223 |
CHIRONGUI |
3027 |
1501 |
49,59% |
50 |
1451 |
0 |
0 |
41 |
261 |
44 |
0 |
0 |
78 |
0 |
931 |
96 |
DEMBÉNI |
2446 |
882 |
36,06% |
39 |
843 |
0 |
0 |
22 |
171 |
40 |
3 |
0 |
239 |
4 |
299 |
65 |
DZAOUDZI |
5574 |
1261 |
22,62% |
58 |
1203 |
0 |
0 |
54 |
255 |
104 |
0 |
0 |
102 |
0 |
175 |
513 |
KANI-KÉLI |
3265 |
1223 |
37,46% |
47 |
1176 |
0 |
3 |
50 |
167 |
62 |
0 |
0 |
201 |
0 |
584 |
109 |
KOUNGOU |
4786 |
1556 |
32,51% |
33 |
1523 |
0 |
0 |
55 |
561 |
85 |
0 |
0 |
108 |
0 |
601 |
113 |
MAMOUDZOU |
11688 |
2963 |
25,35% |
151 |
2812 |
0 |
0 |
147 |
818 |
237 |
0 |
0 |
256 |
0 |
912 |
442 |
M'TANGAMOUJI |
3949 |
1592 |
40,31% |
33 |
1559 |
0 |
0 |
39 |
784 |
53 |
0 |
0 |
74 |
0 |
549 |
60 |
MTSAMBORO |
4466 |
1693 |
37,91% |
41 |
1652 |
0 |
0 |
22 |
68 |
37 |
0 |
0 |
80 |
0 |
1287 |
158 |
OUANGANI |
3010 |
956 |
31,76% |
36 |
920 |
0 |
0 |
19 |
136 |
35 |
0 |
0 |
57 |
0 |
373 |
300 |
PAMANDZI |
3434 |
857 |
24,96% |
29 |
828 |
0 |
0 |
23 |
132 |
65 |
0 |
0 |
84 |
0 |
323 |
201 |
SADA |
4423 |
1823 |
41,22% |
46 |
1777 |
0 |
0 |
34 |
69 |
54 |
0 |
0 |
700 |
0 |
827 |
93 |
TSINGONI |
3467 |
1191 |
34,35% |
24 |
1167 |
0 |
9 |
24 |
46 |
55 |
0 |
0 |
582 |
1 |
349 |
101 |
TOTAL |
71436 |
23887 |
33,44% |
884 |
23003 |
0 |
12 |
715 |
4590 |
1338 |
3 |
0 |
3468 |
5 |
9744 |
3128 |
|
|
|
|
|
|
|
0,1% |
3,1% |
20,0% |
5,8% |
|
|
15,1% |
|
42,4% |
13,6% |
Ce déplacement se fait dans la précipitation puisque la ligue de Mayotte n’avait pu honorer une première invitation de la FMF en mars dernier. “Le comité directeur a été reconfirmé le 21 février. Les commissions n’étaient pas encore installées, cela n’aurait pas fait très sérieux”, explique Sidi Ahmed dit Alyassa, vice-président de la ligue de football de Mayotte.
Les Barea viendront à Mayotte en retour en juillet dans le cadre des festivités de l’inauguration de la mairie de Mamoudzou. La FMF a exigé que les Mahorais se déplacent d’abord à Mahajanga avant de faire le chemin inverse. Une délégation de la mairie de Mamoudzou composée de Sidi Ahmed, Zaïdou Tavanday et Mohamed Ahmada “Tostao” a pu obtenir la venue des Barea pour deux matches contre une sélection de la commune de Mamoudzou (10 juillet) et contre la sélection de Mayotte (12 juillet).