Il est prévu qu’ils rencontrent tous les services de l’État en lien avec la sécurité, mais aussi certaines associations, la protection judiciaire à la jeunesse, la Deal, Tama… Ils repartiront le 5 mars pour Paris afin de livrer leur analyse du terrain, et éventuellement relayer les besoins en hommes, en matériels, en dispositifs pour améliorer la sécurité des personnes sur le département de Mayotte.