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Rixes violentes à Mayotte : Mansour Kamardine demande un nouveau cadre législatif

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Le député mahorais Mansour Kamardine a réagi aux récents événements de Mamoudzou et Majicavo. « Les Mahorais subissent, depuis des années, une montée en puissance de l’insécurité et de la violence, pour la plupart du temps d’origine étrangère. Poussée de violence après poussée, la barbarie s’amplifie, les périodes et les zones de calme disparaissent, laissant place un continuum d’insécurité, tout le temps et partout. Après les rixes, les vengeances, les mutilations et les meurtres ! Après le caillassage des transports scolaires, les agressions à la machette dans les bus ! Après les feux de poubelles, l’agression, le harcèlement et les guet-apens désormais quotidiens contre les forces de l’ordre ! Peu à peu, Mayotte bascule dans la guerre civile ! », juge le représentant de deuxième circonscription de Mayotte.

Satisfait de voir le Raid intervenir, il demande également un nouveau cadre législatif pour le 101ème département. Celui-ci devrait inclure « l’expulsion de tous les ressortissants étrangers fauteurs de troubles à l’ordre public, quel que soit leur âge et leur date d’arrivée à Mayotte », une remise en cause de l’obligation de scolarisation des étrangers en situation irrégulière, « compte-tenu du manque actuel de 800 classes de primaire à Mayotte », et de l’accès gratuit à la santé pour les clandestins. Selon lui, « l’accès au logement social des étrangers délogés de l’habitat illégal est de fait priorisé pour les clandestins, en lieu et place des Mahorais pauvres qui sont majoritaires au sein de la population de l’île (77% sous le seuil de pauvreté) ». Le parlementaire milite également pour « une structure innovante, de type des anciennes classes militaires, pour socialiser et discipliner les jeunes mineurs vivant en bande et terrorisant la population ». Il devrait renouveler ce type de propositions, ce mercredi matin, à l’Assemblée nationale, en commission des lois.

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