Des voix anonymes pour exprimer un désir profond de la société mahoraise sur la nécessité de préserver une histoire collective mise à rude épreuves ces dernières années par des tentatives instances des Comores désireuses de réécrire un passé douloureux, à des fins de propagande anti-Mayotte française. Elles appellent à multiplier les événements commémoratifs tendant à rendre hommage aux acteurs fondateurs du maintien de Mayotte dans la nation française, à travers toutes les générations et les écoles, en ayant recours chaque fois, à des instruments et moyens de langage à leur portée. Un devoir de mémoire leur semble prioritaire dans les circonstances actuelles.
Liesse populaire ce dimanche place Congrès à Pamandzi lors du « Maoulida ya chéngué» commémoratif de Zéna M’déré, la passionaria du combat pour le maintien de Mayotte dans la nation française. Cet événement qui succède à une autre date désormais historique pour les Mahorais, l’anniversaire de la mort tragique de la chatouilleuse Zakia Madi à Mamoudzou (tombée sous les balles de la milice comorienne aux ordres du conseil du gouvernement du Territoire d’Outre-mer des Comores en 1969), constitue le début d’un parcours mémoriel vers lequel…
Journaliste politique & économique
            
		



































                                    

						
					
					