L’auteur qui par ailleurs était le chauffeur de la victime a reconnu lui avoir aspergée du filtox et du dégrippant avant de dissimuler le corps dans un simtank. Le mis en cause a toutefois nié tout acte d’étranglement alors que le certificat médical établi au lendemain du crime a mentionné des traces de strangulation.
Presque six mois après le meurtre odieux de Hikima Ahamada, la justice a rendu son verdict, hier, lundi. La cour d’assises qui se tenait ce 21 juillet au tribunal de Moroni, a condamné Nassurdine Ahamada, le principal accusé, à la peine capitale, suivant ainsi les réquisitions du parquet. Le prévenu, dénommé Micro comparaissait seul, le juge en charge de l’instruction ayant prononcé un non-lieu pour les deux derniers, prévenus. Le 31 janvier, Hikima 23 ans, avait été portée disparue et ne sera retrouvée morte que le lendemain. Ce n’est qu’après son enterrement que la gendarmerie parvient à arrêter des suspects. Le jour de sa mort, la victime s’était rendue à Moroni pour récupérer les fonds de l’agence de transfert d’argent qui l’employait. Le montant de l’argent qu’elle transportait serait de 11 millions…
Journaliste presse écrite basé aux #Comores. Travaille chez @alwatwancomore
, 1er journal des ?? / @Reuters @el_Pais @mayottehebdo ??