Le franco-comorien, Larifou Said en exil, s’est vu infliger une interdiction de plaider pour les deux prochaines années, pendant que son confrère, Ahamada Mahamoud, ex-candidat du parti Juwa à la présidentielle de 2019, accusé de propos injurieux, lui écope seulement d’une réprimande.
Ce lundi, tout le monde avait les yeux rivés sur l’hôtel Retaj au sud de Moroni, où un conseil de discipline contre des avocats très connus se tenait. Mais l’opinion n’avait eu connaissance que de l’affaire de Maitre Ahamada Mahamoud. Bien que son avocat, Maitre Ibrahim Ali Mzimba, ait tenté de jouer la carte de l’assurance, à la sortie des plaidoiries, rien ne semblait encore joué. Ce n’est que vers 18h que l’on connaissait le sort de…
Journaliste presse écrite basé aux #Comores. Travaille chez @alwatwancomore
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