L'ACTUALITÉ DE MAYOTTE 100 % NUMÉRIQUE

Les infos de Mayotte depuis plus de 20 ans !

Justice : 4.000 euros d’amende pour avoir fait travailler des sans-papiers

À lire également

Santé mentale à Mayotte : les précisions du directeur par intérim du CHM

Après la lecture de notre article en date du 1er décembre intitulé « 15.000 personnes suivies pour des pathologies psychiatriques dans la nature ?...

Emmanuel Macron « inquiet » pour Mayotte

L’Élysée a livré quelques échos de la conversation du président de la République française, Emmanuel Macron, et son homologue comorien, Azali Assoumani, ce samedi...

Élections législatives : Mayotte la 1ère lance aussi sa campagne

Pour cet évènement politique majeur, la rédaction de Mayotte la 1ère propose une offre éditoriale transversale sur les trois supports. Portraits des candidats, enjeux...

Enseignement supérieur : cérémonie de remise de diplômes

Ce samedi 25 juin s’est tenue la cérémonie de remise de diplômes universitaires (DU) et des Masters de métiers de l'enseignement, de l'éducation et...

Entre le 1er décembre et le 17 juin 2022, le propriétaire d’une boutique de Sada a employé deux femmes en situation irrégulière et sans contrat de travail. « Mon beau père avait une petite boutique de 6 m², on l’a rachetée avec ma femme et on a fait un prêt bancaire pour l’agrandir, mais pour l’instant, on ne gagne pas d’argent », a indiqué le prévenu, à la barre du tribunal correctionnel de Mamoudzou, ce mardi. Arrivée à Mayotte en 2014, l’une de ses employées, diplômée d’un CAP en ventes, aurait travaillé 42 heures par semaine dans la boutique pour 500 euros. La seconde commerçante aurait, quant à elle, bénéficié d’un temps de travail allégé, d’une vingtaine d’heures, pour le même salaire. « J’ai commis cette infraction sans trop savoir, se justifie le prévenu. C’était plus pour aider qu’autre chose », a-t-il déclaré. Pour la substitut du procureur, Cassandre Morvan, « on n’aide pas les gens en les exploitant. La personne qui travaille 42 heures par semaine a accepté ce travail parce qu’elle ne peut rien faire d’autre. Mais pour monsieur, qui travaille dans le social et a un emploi stable, c’est inadmissible ». Elle demandait une amende de 10.000 euros à l’encontre du propriétaire de la boutique qui devra finalement verser 4.000 euros et a dix jours pour faire appel de cette décision.

Mayotte Hebdo de la semaine

Mayotte Hebdo n°1086

Le journal des jeunes

À la Une

Un recensement a commencé aux abords du stade de Cavani

Alors que cela fait un mois qu’au moins 200 personnes dorment à même le sol du boulevard longeant le stade de Cavani, à Mamoudzou,...

Caribus : Mahamoud Aziary s’est lancé dans une guerre contre la Cadema

Il n'en démord pas depuis plusieurs jours. Mahamoud Aziary est vent debout contre l’attribution du marché du Caribus à la société sœur de Matis,...

Campus connecté : « C’est bien plus qu’un simple lieu d’apprentissage à distance »

La deuxième phase de travaux terminée, la Cadema (Communauté d’agglomération Dembéni-Mamoudzou) a pu inaugurer son campus connecté d’Hajangoua, ce mercredi matin. Le lieu accueillera...

A Ouangani, l’offre médicale passe dans une autre dimension

Samedi dernier, la Maison de santé Moinecha Ali Combo a été inaugurée à Ouangani après quatre années de travaux. L’aboutissement d’un long cheminement pour...

Tribune libre : Anchya Bamana : « Mayotte continue de brûler »

Intitulée « Cri d’alarme », la tribune envoyée ce mercredi par Anchya Bamana s’adresse directement à Gérald Darmanin. L’ancienne maire de Sada et présidente de Maore...