Le retour des pluies fait le bonheur des cultivateurs et des agriculteurs qui ne manqueront plus d’eau pour leurs activités professionnelles. Mais à l’approche du mois sacré du Ramadan (février 2026), l’interrogation demeure quant à la capacité du secteur à satisfaire la demande locale en produits frais de grande consommation ? A défaut les mesures palliatifs envisagés pour éviter de revivre l’épisode de 2025 consécutive au passage du cyclone Chido.
Flash Infos a choisi d’aller à la rencontre de plusieurs acteurs, sur le terrain, dans les administrations, mais également dans l’activité d’import / export des produits agricoles frais. La tendance est à une dépendance indéniable du territoire aux importations, et elle ne risque pas de s’inverser de sitôt…
Journaliste politique & économique
