Azad Abdallah, porte une prothèse à la place de sa jambe, perdue à cause d’une négligence médicale présumée, dont il aurait été victime, le 12 septembre 2025, à l’hôpital El-Maarouf, où il est admis à la suite d’un accident de la circulation.
Son histoire avait ému l’opinion. Trois de mois plus tard, ce qui lui est arrivé bouleverse encore plus d’un surtout, que n’importe quel citoyen aurait pu être à sa place. Le récit est celui d’Azad Abdallah, jeune chauffeur de 28 ans, qui doit marcher avec une prothèse à la place de sa jambe gauche, amputée, selon lui, à cause d’une négligence médicale. Le 12 septembre, ce comorien conduisait une trottinette, vers 21h, chez lui, à Nyumadzaha Bambao, à 15km de la capitale Moroni. Il sera par la suite victime d’un accident de la circulation, renversé par une voiture. Blessé, il arrive à l’hôpital El-Maarouf, le plus grand du pays, aux environs de 22h. Au moment de sa prise en charge, on avait constaté qu’il présentait des fractures au niveau de l’humérus et au péroné gauches. Le médecin traitant, décida alors de l’opérer. Mais, dès le lendemain, les douleurs deviennent insupportables et s’accompagnent d’une odeur nauséabonde qui a alerté ses proches. Inquiets, ces derniers décident de l’évacuer en Tanzanie. Sauf que là-bas, le diagnostic posé par le médecin a fait l’effet d’une bombe. Il informe Azad que sa jambe est…
Journaliste presse écrite basé aux #Comores. Travaille chez @alwatwancomore
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