Le chef de l’Etat comorien, Azali Assoumani, accusé par la presse de son pays d’orchestrer une déstabilisation de Mayotte depuis les côtes tanzaniennes à travers un trafic d’êtres humains. L’information serait de notoriété publique à Moroni où le mutisme absolu serait de mise dans les arcanes du pouvoir et des représentations diplomatiques étrangères. Une curiosité majeure dans cette affaire, le pouvoir n’a d’aucune manière réagi face à ces accusations, ce qui tranche avec les habitudes autoritaires du régime Azali.
De militaire putschiste, à Président dictateur (honni mais craint par ses sujets), Azali Assoumani serait-il devenu un mafieux trafiquant d’êtres humains dans le but affiché de nuire à Mayotte (et à la France par ricochet) ? Ce qui n’était qu’un singulier soupçon dans l’esprit collectif des Mahorais ces 10 dernières années, semble être devenu réalité pour les…
Journaliste politique & économique






































