Il chute lourdement et vient s’écraser la tête la première sur le muret en contrebas. Il est mort sur le coup.
Selon un témoin, ce ressortissant comorien d’une trentaine d’années aurait été pris de vertige, fréquent durant le mois de Ramadan, alors qu’il manipulait un parpaing en effectuant le crépissage de l’étage de la maison. Il a chuté de moins de 2 mètres, mais l’absence de casque et d’équipement de protection lui a été fatale. Il a eut la boite crânienne enfoncée et la mâchoire brisée dans la chute. La propriétaire, qui faisait un shibarua, c’est-à-dire un recours au travail au noir pour construire sa maison, pourrait être poursuivie pour homicide involontaire et se retrouver à devoir payer des dommages et intérêts considérables à la famille du défunt.
A.T.